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Mouvement Démocrate

François Bayrou




Avec François Bayrou, les choses... ne sont pas claires : "Ou bien le nucléaire est dangereux et il faut fermer toutes les centrales ; ou bien il y a des assurances de sécurité, auquel cas il n’y a aucune raison de fixer un calendrier politicien de fermeture des réacteurs", déclarait-il encore il y a quelques semaines (Source).

En 2006, Bayrou s’est opposé à l’enfouissement à Bure ; pour autant, il ne souhaite pas la fermeture de Fessenheim (Source) : « Si l’ASN dit qu’on peut la laisser ouverte, au moins que l’on se fie à son avis », a-t-il affirmé en janvier dernier.

En résumé, Bayrou délaisse complètement la question, qui ne semble pas vraiment l’intéresser.

La position du Modem sur le sujet est donc majoritairement couverte par Yann Wehrling, le responsable environnement du Modem. Il déclarait ainsi, en octobre dernier : « il ne faut pas partir du point de vue de principe "on va arrêter le nucléaire", mais réfléchir au niveau d’effort que l’on peut faire. Si, par une plus grande efficacité énergétique et un développement des énergies renouvelables, on peut répondre aux défis à une échéance moyenne (2030) ou longue (2050), alors on aura réussi notre objectif de réduire les énergies fossiles et le nucléaire. Mais si on commence par dire "pour ou contre le nucléaire", on va avoir un débat stressant, dogmatique, diviseur, qui ne répondra de toute façon pas aux questions essentielles. » Yann Wehrling estime « nécessaire d’y voir clair sur son coût réel et sur les malfaçons pointées par l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN). »

Au final, il « demande [aux écologistes d’EELV] d’arrêter de se focaliser sur des symboles qui ne servent à rien (…) Faisons tous les cinq ans des rendez-vous de type Grenelle de l’énergie pour faire le point : si on a fait tant d’effort, cela signifie que l’on peut fermer une centrale ou deux ».

François Bayrou est par ailleurs visiblement favorable au maintien de la « dissuasion nucléaire », comme l’indique sa visite à la base de sous-marins nucléaires lanceurs d’engins de l’Île Longue ce 23 janvier.

https://www.bayrou.fr/

Avec François Bayrou, les choses... ne sont pas claires : "Ou bien le nucléaire est dangereux et il faut fermer toutes les centrales ; ou bien il y a des assurances de sécurité, auquel cas il n’y a aucune raison de fixer un calendrier politicien de fermeture des réacteurs", déclarait-il encore il y a quelques semaines (Source).

En 2006, Bayrou s’est opposé à l’enfouissement à Bure ; pour autant, il ne souhaite pas la fermeture de Fessenheim (Source) : « Si l’ASN dit qu’on peut la laisser ouverte, au moins que l’on se fie à son avis », a-t-il affirmé en janvier dernier.

En résumé, Bayrou délaisse complètement la question, qui ne semble pas vraiment l’intéresser.

La position du Modem sur le sujet est donc majoritairement couverte par Yann Wehrling, le responsable environnement du Modem. Il déclarait ainsi, en octobre dernier : « il ne faut pas partir du point de vue de principe "on va arrêter le nucléaire", mais réfléchir au niveau d’effort que l’on peut faire. Si, par une plus grande efficacité énergétique et un développement des énergies renouvelables, on peut répondre aux défis à une échéance moyenne (2030) ou longue (2050), alors on aura réussi notre objectif de réduire les énergies fossiles et le nucléaire. Mais si on commence par dire "pour ou contre le nucléaire", on va avoir un débat stressant, dogmatique, diviseur, qui ne répondra de toute façon pas aux questions essentielles. » Yann Wehrling estime « nécessaire d’y voir clair sur son coût réel et sur les malfaçons pointées par l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN). »

Au final, il « demande [aux écologistes d’EELV] d’arrêter de se focaliser sur des symboles qui ne servent à rien (…) Faisons tous les cinq ans des rendez-vous de type Grenelle de l’énergie pour faire le point : si on a fait tant d’effort, cela signifie que l’on peut fermer une centrale ou deux ».

François Bayrou est par ailleurs visiblement favorable au maintien de la « dissuasion nucléaire », comme l’indique sa visite à la base de sous-marins nucléaires lanceurs d’engins de l’Île Longue ce 23 janvier.

https://www.bayrou.fr/



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