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Action permanente

Agir pour la 6ème bonne raison d'être antinucléaire : les droits humains

Partout (France) - Événement national


Jeudi 22 octobre 2020 / Jeudi 10 décembre 2020


Pendant un mois, mobilisons-nous pour la sixième bonne raison de construire un monde sans nucléaire

Pour les droits humains

De la mine aux déchets, le nucléaire piétine les libertés. L’Histoire le montre : l’exploitation de l’énergie atomique par les industriels et l’État s’est toujours faite aux prix d’atteintes aux droits humains. 100% de l’uranium utilisé dans nos centrales nucléaires provient de l’étranger. En plus d’être très polluante, l’extraction minière est souvent synonyme de compromissions morales. L’État et les multinationales de l’uranium disposent d’un traitement de faveur dans des pays pauvres ou antidémocratiques. La plupart du temps, les contrats signés sont injustes et reconduisent les rapports de force de la colonisation. Lors de l’octroi de concessions minières, les populations autochtones sont mises à l’écart et dans les mines, les conditions de travail sont déplorables.

Et lorsqu’on parle de la gestion des déchets radioactifs, les acteurs de la filière nucléaire choisissent constamment le passage en force. Avec la complicité de l’État et de sa violente répression, l’industrie du nucléaire impose ses projets mortifères à des citoyens qui n’en veulent pas. Par la surveillance, l’achat des consciences et la propagande, la filière nucléaire tentent de faire plier les habitant.es et modifie des territoires en profondeur, souvent pour le pire. Faire respecter les droits humains en France comme à l’étranger, voilà la deuxième bonne raison de construire un monde sans nucléaire et plus solidaire.

Informez vous

> En consultant la rubrique « Droits humains » de notre site internet. Avec cette compilation d’articles, d’ouvrages et de documentaires, vous pourrez en apprendre davantage sur les méfaits des entreprises et des institutions du nucléaire et sur les conditions de vie de celles et ceux qui en sont victimes.

> Je consulte la rubrique

> En regardant le film La colère dans le vent, qui documente de quelle façon Orano (ex-Areva) a (mal)traité les habitant.es d’Arlit et ses alentours au Niger pour implanter une mine, l’exploiter, et finalement la fermer et abandonner les locaux dans la misère et la maladie.

> Voir le film-documentaire

Agissez

> En rejoignant un comité de soutien aux opposant·es au projet de poubelle nucléaire en Meuse (Cigéo). Ces comités permettent de montrer aux personnes mises en difficulté à cause de leur engagement qu’ils·elles sont soutenu·es à travers toute la France. En rejoignant un de ces comités, vous démontrez aussi que nous ne nous laisserons pas intimider par la répression policière et judiciaire démesurée et illégitime.

> Je rejoins un comité existant ou j’en créé un nouveau

> En interpellant sur les réseaux sociaux les industriels qui bafouent les droits humains, en France comme à l’étranger.

 C’est le cas d’Orano (ex-Areva), qui exploite des mines d’uranium dans des pays comme le Khazakstan, la Mongolie ou le Niger.

Exemple de phrases à diffuser sur Twitter et sur Facebook :

@Orano quand et comment comptez-vous dépolluer l’ancienne mine d’Arlit au Niger ? #Criirad

@Orano quand allez-vous indemniser les victimes de la radioactivité de vos mines au Niger, en Mongolie et au Kazakhstan ?

@Orano, l’uranium nigérien permet d’allumer plus d’un quart des ampoules françaises, alors même que 70 % des nigérien·nes n’ont pas accès à l’électricité. Ça vous paraît normal ?

@Orano avez-vous vu le film La colère dans le vent ? #Criirad #Arlit

@Orano, est-ce vrai que vous organisez des voyages au Kazakhstan pour les habitants de la mongolie pour les convaincre des bienfaits d’une mine d’uranium proche de chez eux ?

@Orano, les travailleurs de vos mines sont-ils mieux protégés qu’à l’époque d’Arlit ?

@Orano, 1,3 milliards d’euros de chiffre d’affaire en partie réalisé grâce aux mines du Niger, quand celui-ci est le sixième pays le plus pauvre du monde. Rien ne vous choque ?

 En France, c’est le cas de l’Andra, l’agence publique qui pilote le projet d’enfouissement de déchets radioactifs à Bure (Meuse), et qui bafoue les droits des personnes qui s’opposent à elle.

Comment expliquez-vous que lorsque l’Andra est arrivée sur le territoire dans les années 90, elle a assuré qu’il n’y aurait pas de centre d’enfouissement à Bure et qu’il s’agissait simplement d’un laboratoire de recherche ?

Est-il vrai qu’en 2016, l’Andra a débauché une milice privée qui patrouillait dans le Bois Lejuc et que ses agents étaient équipés de gants plombés et d’imposants gourdins en bois ? »

En 2017, un ingénieur travaillant pour l’Andra a versé une bouteille d’essence sur plusieurs opposants au projet Cigéo. Il fait ça souvent ?

@Andra, comment vivez-vous la présence policière massive dans la Meuse depuis que vous avez posé vos valises à Bure ?

@Andra, 85 000 conversations et messages interceptés, 16 ans de temps cumulés d’écoute téléphonique : que feriez-vous sans la répression de l’État ?

Le GIP auquel appartient l’Andra a versé plus d’un milliard d’euros aux départements de Meuse et de Haute-Marne depuis la création du labo : pas comme une impression d’acheter les élus et les habitants ?

Soutenez

> En faisant un don à l’association Cacendr, qui fournit un soutien juridique et financier aux militant.es inquiété.es pour leur engagement contre le nucléaire ou qui font l’objet de répression de la part de l’État.

> En savoir plus

> En achetant le livre Areva en Afrique, qui revient sur les différents scandales de la multinationale française Orano (ex-Areva), notamment au Niger.

> En savoir plus

Pour discuter des modalités d’action possibles ou rendre-compte de celles que vous aurez mené, vous pouvez écrire à :

mobilisations@sortirdunucleaire.fr

Pendant un mois, mobilisons-nous pour la sixième bonne raison de construire un monde sans nucléaire

Pour les droits humains

De la mine aux déchets, le nucléaire piétine les libertés. L’Histoire le montre : l’exploitation de l’énergie atomique par les industriels et l’État s’est toujours faite aux prix d’atteintes aux droits humains. 100% de l’uranium utilisé dans nos centrales nucléaires provient de l’étranger. En plus d’être très polluante, l’extraction minière est souvent synonyme de compromissions morales. L’État et les multinationales de l’uranium disposent d’un traitement de faveur dans des pays pauvres ou antidémocratiques. La plupart du temps, les contrats signés sont injustes et reconduisent les rapports de force de la colonisation. Lors de l’octroi de concessions minières, les populations autochtones sont mises à l’écart et dans les mines, les conditions de travail sont déplorables.

Et lorsqu’on parle de la gestion des déchets radioactifs, les acteurs de la filière nucléaire choisissent constamment le passage en force. Avec la complicité de l’État et de sa violente répression, l’industrie du nucléaire impose ses projets mortifères à des citoyens qui n’en veulent pas. Par la surveillance, l’achat des consciences et la propagande, la filière nucléaire tentent de faire plier les habitant.es et modifie des territoires en profondeur, souvent pour le pire. Faire respecter les droits humains en France comme à l’étranger, voilà la deuxième bonne raison de construire un monde sans nucléaire et plus solidaire.

Informez vous

> En consultant la rubrique « Droits humains » de notre site internet. Avec cette compilation d’articles, d’ouvrages et de documentaires, vous pourrez en apprendre davantage sur les méfaits des entreprises et des institutions du nucléaire et sur les conditions de vie de celles et ceux qui en sont victimes.

> Je consulte la rubrique

> En regardant le film La colère dans le vent, qui documente de quelle façon Orano (ex-Areva) a (mal)traité les habitant.es d’Arlit et ses alentours au Niger pour implanter une mine, l’exploiter, et finalement la fermer et abandonner les locaux dans la misère et la maladie.

> Voir le film-documentaire

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> En interpellant sur les réseaux sociaux les industriels qui bafouent les droits humains, en France comme à l’étranger.

 C’est le cas d’Orano (ex-Areva), qui exploite des mines d’uranium dans des pays comme le Khazakstan, la Mongolie ou le Niger.

Exemple de phrases à diffuser sur Twitter et sur Facebook :

@Orano quand et comment comptez-vous dépolluer l’ancienne mine d’Arlit au Niger ? #Criirad

@Orano quand allez-vous indemniser les victimes de la radioactivité de vos mines au Niger, en Mongolie et au Kazakhstan ?

@Orano, l’uranium nigérien permet d’allumer plus d’un quart des ampoules françaises, alors même que 70 % des nigérien·nes n’ont pas accès à l’électricité. Ça vous paraît normal ?

@Orano avez-vous vu le film La colère dans le vent ? #Criirad #Arlit

@Orano, est-ce vrai que vous organisez des voyages au Kazakhstan pour les habitants de la mongolie pour les convaincre des bienfaits d’une mine d’uranium proche de chez eux ?

@Orano, les travailleurs de vos mines sont-ils mieux protégés qu’à l’époque d’Arlit ?

@Orano, 1,3 milliards d’euros de chiffre d’affaire en partie réalisé grâce aux mines du Niger, quand celui-ci est le sixième pays le plus pauvre du monde. Rien ne vous choque ?

 En France, c’est le cas de l’Andra, l’agence publique qui pilote le projet d’enfouissement de déchets radioactifs à Bure (Meuse), et qui bafoue les droits des personnes qui s’opposent à elle.

Comment expliquez-vous que lorsque l’Andra est arrivée sur le territoire dans les années 90, elle a assuré qu’il n’y aurait pas de centre d’enfouissement à Bure et qu’il s’agissait simplement d’un laboratoire de recherche ?

Est-il vrai qu’en 2016, l’Andra a débauché une milice privée qui patrouillait dans le Bois Lejuc et que ses agents étaient équipés de gants plombés et d’imposants gourdins en bois ? »

En 2017, un ingénieur travaillant pour l’Andra a versé une bouteille d’essence sur plusieurs opposants au projet Cigéo. Il fait ça souvent ?

@Andra, comment vivez-vous la présence policière massive dans la Meuse depuis que vous avez posé vos valises à Bure ?

@Andra, 85 000 conversations et messages interceptés, 16 ans de temps cumulés d’écoute téléphonique : que feriez-vous sans la répression de l’État ?

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