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Ils ont barré la route à l’uranium pour le Chernobyl-Day

Article publié le 15 mai 2013



Le week-end d’actions du Chernobyl-Day fut l’occasion pour de nombreux groupes de s’emparer du mot d’ordre de la campagne : « Ensemble, barrons la route à l’uranium » et de lever le voile sur la route secrète de l’uranium. Voici quelques exemples d’actions dont nous vous invitons à vous inspirer pour vous mobiliser près de chez vous.



Sur la route de l’UF4 à l’UF6

Chaque jour, 60 tonnes d’uranium quittent la Comurhex Malvési, près de Narbonne pour rejoindre la Comurhex Pierrelatte sur le site du Tricastin, dans la Drôme. Pour dénoncer le risque que ces deux installations font peser sur le Languedoc-Roussillon, ainsi que les transports d’UF4 qui empruntent chaque jour l’autoroute A9, les militants de SDN11 et SDN34 se sont mobilisés.

À Narbonne, ils étaient une quinzaine à se relayer, malgré le vent, le froid et l’humidité, à la barrière de péage Croix-Sud, afin de faire découvrir aux automobilistes que l’Aude est la porte d’entrée du nucléaire français.

À Montpellier, c’est au milieu de milliers de supporteurs de rugby que les militants se sont retrouvés pour distribuer des tracts, équipés de banderoles « barrons la route à l’uranium » et panneaux informant les passants sur les installations nucléaires proches de Montpellier et les transports qui longent chaque jour l’agglomération.

Sur la route des centrales

Le collectif « Stop transports – Halte au nucléaire » a quant à lui bloqué la circulation dans le centre-ville de Strasbourg. Les militants y ont déployé une banderole exigeant l’arrêt « définitif, maintenant » de la centrale de Fessenheim. Au mégaphone, ils se sont expliqués auprès des automobilistes immobilisés « Si jamais il y avait un accident à Fessenheim, vous ne seriez pas bloqués quelques minutes, mais indéfiniment ! Jamais vous ne pourriez rentrer chez vous. Ce serait définitif. »

Sur la route des déchets

À Amiens et Paris, c’est contre les convois de déchets que les militants se sont rassemblés.

Le CLAN Picard s’est activement mobilisé : à Amiens, trois actions ont été organisées en trois jours. Le vendredi, ils étaient présents devant l’agence d’EDF avec des panneaux exposant les cartes de France des installations et des transports nucléaires. Le samedi, ils se sont littéralement étalés devant le parvis de la gare et ont organisé une inauguration de la "route secrète du nucléaire" avec deux élus locaux pour dénoncer les convois de déchets passant par la gare d’Amiens. Le dimanche, ils ont clôturé le week-end par un pique-nique en baie de Somme.

A Paris, SDN Paris, accompagné de militants de Greenpeace et des Colibris, a interpellé le public parisien et les voyageurs en transit sur les dangers de l’industrie nucléaire et sur les nombreux transports de déchets qui traversent chaque semaine l’Ile de France en secret.

Sur la route de l’UF4 à l’UF6

Chaque jour, 60 tonnes d’uranium quittent la Comurhex Malvési, près de Narbonne pour rejoindre la Comurhex Pierrelatte sur le site du Tricastin, dans la Drôme. Pour dénoncer le risque que ces deux installations font peser sur le Languedoc-Roussillon, ainsi que les transports d’UF4 qui empruntent chaque jour l’autoroute A9, les militants de SDN11 et SDN34 se sont mobilisés.

À Narbonne, ils étaient une quinzaine à se relayer, malgré le vent, le froid et l’humidité, à la barrière de péage Croix-Sud, afin de faire découvrir aux automobilistes que l’Aude est la porte d’entrée du nucléaire français.

À Montpellier, c’est au milieu de milliers de supporteurs de rugby que les militants se sont retrouvés pour distribuer des tracts, équipés de banderoles « barrons la route à l’uranium » et panneaux informant les passants sur les installations nucléaires proches de Montpellier et les transports qui longent chaque jour l’agglomération.

Sur la route des centrales

Le collectif « Stop transports – Halte au nucléaire » a quant à lui bloqué la circulation dans le centre-ville de Strasbourg. Les militants y ont déployé une banderole exigeant l’arrêt « définitif, maintenant » de la centrale de Fessenheim. Au mégaphone, ils se sont expliqués auprès des automobilistes immobilisés « Si jamais il y avait un accident à Fessenheim, vous ne seriez pas bloqués quelques minutes, mais indéfiniment ! Jamais vous ne pourriez rentrer chez vous. Ce serait définitif. »

Sur la route des déchets

À Amiens et Paris, c’est contre les convois de déchets que les militants se sont rassemblés.

Le CLAN Picard s’est activement mobilisé : à Amiens, trois actions ont été organisées en trois jours. Le vendredi, ils étaient présents devant l’agence d’EDF avec des panneaux exposant les cartes de France des installations et des transports nucléaires. Le samedi, ils se sont littéralement étalés devant le parvis de la gare et ont organisé une inauguration de la "route secrète du nucléaire" avec deux élus locaux pour dénoncer les convois de déchets passant par la gare d’Amiens. Le dimanche, ils ont clôturé le week-end par un pique-nique en baie de Somme.

A Paris, SDN Paris, accompagné de militants de Greenpeace et des Colibris, a interpellé le public parisien et les voyageurs en transit sur les dangers de l’industrie nucléaire et sur les nombreux transports de déchets qui traversent chaque semaine l’Ile de France en secret.