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La phrase qui tue le nucléaire

Olivier Isnard (chercheur à l’IRSN - Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire français)

Publié le 24 juillet 2013



"dans les zones autour de Tchernobyl, et jusqu’à des distances importantes, on constate encore aujourd’hui de nombreuses personnes qui déclarent des pathologies cardiaques suite à de l’exposition prolongée à de faibles doses, notamment liées au césium qui est dans leur alimentation."



Source : émission "Du grain à moudre", France Culture, 19 septembre 2011. Titre : "Peut-on désinventer le nucléaire ?" / Invités : Jacques Foos, Bernard Laponche, Olivier Isnard.

Intervenant après Jacque Foos qui "resservait" la théorie de l’hormésis, selon laquelle être exposé à de faibles doses de radioactivité pourrait agir comme une vaccination, Olivier Isnard, chercheur à l’IRSN, déclare :

"Ce débat sur les faibles doses... Il faut aussi remarquer que dans les zones autour de Tchernobyl, et jusqu’à des distances importantes, on constate encore aujourd’hui de nombreuses personnes qui déclarent des pathologies cardiaques suite à de l’exposition prolongée à de faibles doses, notamment liées au césium qui est dans leur alimentation."

Ce faisant, ce chercheur de l’IRSN reprend à son compte, sans le citer nommément, les résultats des recherches du scientifique biélorusse Youri Bandajevski, qui avec son épouse Galia a révélé que l’incorporation chronique de faibles doses de césium-137 provoque diverses pathologies graves, notamment cardiaques.

Source : émission "Du grain à moudre", France Culture, 19 septembre 2011. Titre : "Peut-on désinventer le nucléaire ?" / Invités : Jacques Foos, Bernard Laponche, Olivier Isnard.

Intervenant après Jacque Foos qui "resservait" la théorie de l’hormésis, selon laquelle être exposé à de faibles doses de radioactivité pourrait agir comme une vaccination, Olivier Isnard, chercheur à l’IRSN, déclare :

"Ce débat sur les faibles doses... Il faut aussi remarquer que dans les zones autour de Tchernobyl, et jusqu’à des distances importantes, on constate encore aujourd’hui de nombreuses personnes qui déclarent des pathologies cardiaques suite à de l’exposition prolongée à de faibles doses, notamment liées au césium qui est dans leur alimentation."

Ce faisant, ce chercheur de l’IRSN reprend à son compte, sans le citer nommément, les résultats des recherches du scientifique biélorusse Youri Bandajevski, qui avec son épouse Galia a révélé que l’incorporation chronique de faibles doses de césium-137 provoque diverses pathologies graves, notamment cardiaques.



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