29 janvier 2018
Lundi 29 janvier 2018 à 10h20, le réacteur 3 de la centrale nucléaire de Cattenom s’est arrêté automatiquement. "La fermeture d’une vanne d’isolement vapeur située dans la partie secondaire des installations" serait à l’origine du déclenchement de ce processus automatique qui vise à protéger le réacteur lorsqu’une situation anormale est détectée. Des contrôles sont en cours. Autant dire que l’exploitant ne nous dit pas grand chose. Ce réacteur venait pourtant tout juste de redémarrer, ayant été reconnecté au réseau dimanche soir après une intervention sur un détecteur incendie en zone nucléaire qui avait nécessité sa mise à l’arrêt.
L.B.
Le dimanche 28 janvier à 00h00, les équipes de la centrale de Cattenom ont procédé à la mise à l’arrêt programmée de l’unité de production n°3 afin d’intervenir sur un détecteur incendie situé dans le bâtiment réacteur.
Les unités de production n° 1, 2 et 4 fonctionnent et alimentent le réseau électrique national.
Le dimanche 28 janvier à 21h40, l’unité de production n°3 a été reconnectée au réseau électrique. Elle avait été arrêtée le dimanche 28 janvier à 00h00 afin d’intervenir sur un détecteur incendie situé dans le bâtiment réacteur. Les unités de production n° 1, 2, 3 et 4 fonctionnent et alimentent le réseau électrique national.
Le lundi 29 janvier 2018 vers 10H20, l’unité de production n°3 de la centrale de Cattenom s’est arrêtée automatiquement, conformément aux dispositifs de sûreté et de protection du réacteur.
La fermeture d’une vanne d’isolement vapeur située dans la partie secondaire des installations (partie non nucléaire) est à l’origine de cet arrêt automatique. Les équipes de la centrale réalisent actuellement les contrôles nécessaires. Cet arrêt n’a aucun impact sur la sûreté des installations, ni sur l’environnement. Les unités n°1 et 2 et 4 fonctionnent et sont à la disposition du réseau électrique.
Le jeudi 1er février 2018 l’unité de production n°3 de la centrale de Cattenom a atteint sa pleine puissance et est connectée au réseau d’électricité.
Elle avait été arrêtée suite à la fermeture d’une vanne d’isolement vapeur située dans la partie secondaire des installations (partie non nucléaire).
Cet événement n’a eu aucun impact sur la sûreté des installations, ni sur l’environnement. Les unités n°1, 2, 3 et 4 fonctionnent et sont à la disposition du réseau électrique.