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Contre les déchets nucléaires et le « train d’enfer », 25 mobilisations en France les 5 et 6 novembre

5 novembre 2010 |




Contre les déchets nucléaires et le « train d’enfer », 25 mobilisations en France les 5 et 6 novembre (et beaucoup d’autres en Allemagne)



Le « train d’enfer » qui part aujourd’hui est l’un des convois de déchets les plus radioactifs de l’histoire. La radioactivité totale de ce convoi (soit 3917,4 millions de milliards de becquerels) représente deux fois celle dégagée par la catastrophe de Tchernobyl. Et ce convoi roule sans assurance réelle (1).

Le départ de ce convoi est prévu aujourd’hui à 14h20 de la gare de Valognes (Manche). Il doit atteindre Gorleben (Basse-Saxe) demain samedi 6 novembre, pour ramener en Allemagne onze conteneurs de type CASTOR, qui contiennent des déchets nucléaires vitrifiés de très haute activité. Le Réseau "Sortir du nucléaire" rappelle qu’il n’existe aucune solution pour ces déchets dangereux. Ils ne doivent pas être entreposés indéfiniment à La Hague, mais ne doivent pas non plus être stockés à Gorleben : ce site est complètement inadapté. Les centres de stockage « définitif », comme le Centre de Stockage de la Manche, ou la mine de sel d’Asse en Allemagne, ont été présentés à leur ouverture comme des sites sûrs. Leur gestion se révèle en réalité aujourd’hui absolument catastrophique. L’enfouissement n’est pas une solution, ni à Gorleben en Allemagne, ni sur un site comme Bure (Meuse).

Les déchets nucléaires ne sont ni biodégradables, ni recyclables. Le « retraitement » est un leurre, qui génère en réalité des quantités considérables de déchets supplémentaires, et d’importants rejets radioactifs. Il ne « recycle » que des quantités infimes de matière. L’enfouissement n’est qu’un moyen d’escamoter un problème ingérable. C’est bien les entreprises allemandes qui ont produit des déchets (EON, RWE, Vattenfall et EnBW) qui doivent en assumer toute la responsabilité financière et écologique.

Le Réseau "Sortir du nucléaire" demande le retour des déchets radioactifs allemands dans les centrales nucléaires qui les ont produits. Face à l’impasse des déchets nucléaires, une seule solution : arrêter d’en produire ! La sortie du nucléaire est possible, en particulier par les économies d’énergie, la sobriété énergétique et les énergies renouvelables.


> (1) Photos des mobilisations, suivi au fil du trajet, informations sur le convoi, le défaut d’assurance, les actions locales...


> Lien vers tous les contacts presse locaux


Porte-parole nationaux du Réseau "Sortir du nucléaire"

 Laura Hameaux : 06 85 23 05 11
 Nadine Schneider : 06 85 50 82 77
 François Mativet (en direct à proximité du train sur tout le trajet) : 06 03 92 20 13
 Charlotte Mijeon (contacts germanophones) : 06 75 36 20 20

Le « train d’enfer » qui part aujourd’hui est l’un des convois de déchets les plus radioactifs de l’histoire. La radioactivité totale de ce convoi (soit 3917,4 millions de milliards de becquerels) représente deux fois celle dégagée par la catastrophe de Tchernobyl. Et ce convoi roule sans assurance réelle (1).

Le départ de ce convoi est prévu aujourd’hui à 14h20 de la gare de Valognes (Manche). Il doit atteindre Gorleben (Basse-Saxe) demain samedi 6 novembre, pour ramener en Allemagne onze conteneurs de type CASTOR, qui contiennent des déchets nucléaires vitrifiés de très haute activité. Le Réseau "Sortir du nucléaire" rappelle qu’il n’existe aucune solution pour ces déchets dangereux. Ils ne doivent pas être entreposés indéfiniment à La Hague, mais ne doivent pas non plus être stockés à Gorleben : ce site est complètement inadapté. Les centres de stockage « définitif », comme le Centre de Stockage de la Manche, ou la mine de sel d’Asse en Allemagne, ont été présentés à leur ouverture comme des sites sûrs. Leur gestion se révèle en réalité aujourd’hui absolument catastrophique. L’enfouissement n’est pas une solution, ni à Gorleben en Allemagne, ni sur un site comme Bure (Meuse).

Les déchets nucléaires ne sont ni biodégradables, ni recyclables. Le « retraitement » est un leurre, qui génère en réalité des quantités considérables de déchets supplémentaires, et d’importants rejets radioactifs. Il ne « recycle » que des quantités infimes de matière. L’enfouissement n’est qu’un moyen d’escamoter un problème ingérable. C’est bien les entreprises allemandes qui ont produit des déchets (EON, RWE, Vattenfall et EnBW) qui doivent en assumer toute la responsabilité financière et écologique.

Le Réseau "Sortir du nucléaire" demande le retour des déchets radioactifs allemands dans les centrales nucléaires qui les ont produits. Face à l’impasse des déchets nucléaires, une seule solution : arrêter d’en produire ! La sortie du nucléaire est possible, en particulier par les économies d’énergie, la sobriété énergétique et les énergies renouvelables.


> (1) Photos des mobilisations, suivi au fil du trajet, informations sur le convoi, le défaut d’assurance, les actions locales...


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 Laura Hameaux : 06 85 23 05 11
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 Charlotte Mijeon (contacts germanophones) : 06 75 36 20 20



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