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Sortir du nucléaire n°83



Automne 2019

S’ouvrir : Aller plus loin

CHRONIQUES...

Documentaire

“Invisibles retombées“, le travail de la CRIIRAD à Fukushima

© CRIIRAD

Produit par la CRIIRAD “Invisibles Retombées“ est un documentaire en 4 épisodes sur Youtube. Il rend compte des rencontres avec les habitants des zones contaminées après la catastrophe de Fukushima et des mesures des niveaux de radiation effectuées à leur côté par la CRIIRAD appelée à la rescousse.

“Des citoyens face aux mensonges“ ou comment la CRIIRAD est sollicitée en mars 2011 par des citoyens japonais qui souhaitent se doter de radiamètres pour mesurer la radioactivité ambiante.

Épisode 1 : https://www.youtube.com/atch?v=1DruU6oSPwU

“Mission en territoire contaminé“ En mai 2011, la CRIIRAD se rend au Japon et apporte des appareils qui permettent de contrôler la radioactivité des aliments. Quelques semaines après les retombées, le césium radioactif s’est infiltré jusqu’à une dizaine de centimètres de profondeur dans le sol.

Épisode 2 : https://www.youtube.com/watch?v=eVsh0LIRT4s

“L’irradiation permanente“ Les habitants sont confrontés à des choix dramatiques : rester sur un territoire contaminé ou prendre la décision de le quitter.

Épisode 3 : https://www.youtube.com/watch?v=f0LP8Q40yWs

“L’impossible décontamination“ La décontamination totale n’est pas possible. Les populations vont être exposées pendant des décennies. En cohérence avec les recommandations internationales prises sous l’impulsion du lobby nucléaire français, les autorités Japonaises ont multiplié par 20 les normes de radioactivité acceptables en cas de retombées radioactives.

Épisode 4 : https://www.youtube.com/atch?v=Gmm4gA9aLsE

Disponible en intégralité à partir de fin novembre sur la chaîne YouTube de la CRIIRAD
Durée complète : 47 min.


Roman

“De bonnes raisons de mourir“

Un cadavre atrocement mutilé suspendu à la façade d’un bâtiment. Une ancienne ville soviétique envoûtante et terrifiante. Deux enquêteurs, aux motivations divergentes, face à un tueur fou qui signe ses crimes d’une hirondelle empaillée. Et l’ombre d’un double meurtre perpétré en 1986, la nuit où la centrale de Tchernobyl a explosé... Morgan Audic signe un thriller époustouflant dans une Ukraine disloquée où se mêlent conflits armés, effondrement économique et revendications écologiques.

De bonnes raisons de mourir,
Morgan Audic,
éd. Albin Michel,
mai 2019, 496 p., 21,90 €


Essai

“Le nucléaire, c’est fini“

Alors que les géants du secteur font faillite, l’industrie nucléaire est menacée par d’innombrables tempêtes, inondations, sécheresses et canicules.... Mais pouvons-nous compter sur la dégradation des conditions financières et climatiques pour mettre fin à une production étroitement liée à des enjeux politiques et militaires ? Mêlant enquête et récits, ce livre déroule le fil de notre condition nucléaire et plaide pour un déconfinement radical. Plus qu’un diagnostic, c’est le signal d’une rupture : le nucléaire, c’est fini !

Interview de l’autrice : https://lundi.am/Le-nucleaire-c-est-fini

Le nucléaire, c’est fini,
La Parisienne libérée,
éd. La Fabrique,
septembre 2019, 216 p., 13 €


Documentaire

“La colère dans le vent“

Areva exploite l’uranium à Arlit au Ni-ger depuis 1976. La radioactivité ne se voit pas et la population n’est pas informée des risques qu’elle encourt. Une partie de l’année, de violents vents de sable empli de substances radioactives enveloppent entièrement la ville. La ville devient calme, toutes les activités sont stoppées. Le père de la réalisatrice, travailleur de la mine d’uranium en retraite, est au cœur du film. Il dépoussière ses souvenirs, les 35 années de son passage à la mine.

La colère dans le vent,
Amina Weira, 2016, 54 min, https://vimeo.com/ondemand/lacoleredanslevent
4 € ou 8 €

Documentaire

“Invisibles retombées“, le travail de la CRIIRAD à Fukushima

© CRIIRAD

Produit par la CRIIRAD “Invisibles Retombées“ est un documentaire en 4 épisodes sur Youtube. Il rend compte des rencontres avec les habitants des zones contaminées après la catastrophe de Fukushima et des mesures des niveaux de radiation effectuées à leur côté par la CRIIRAD appelée à la rescousse.

“Des citoyens face aux mensonges“ ou comment la CRIIRAD est sollicitée en mars 2011 par des citoyens japonais qui souhaitent se doter de radiamètres pour mesurer la radioactivité ambiante.

Épisode 1 : https://www.youtube.com/atch?v=1DruU6oSPwU

“Mission en territoire contaminé“ En mai 2011, la CRIIRAD se rend au Japon et apporte des appareils qui permettent de contrôler la radioactivité des aliments. Quelques semaines après les retombées, le césium radioactif s’est infiltré jusqu’à une dizaine de centimètres de profondeur dans le sol.

Épisode 2 : https://www.youtube.com/watch?v=eVsh0LIRT4s

“L’irradiation permanente“ Les habitants sont confrontés à des choix dramatiques : rester sur un territoire contaminé ou prendre la décision de le quitter.

Épisode 3 : https://www.youtube.com/watch?v=f0LP8Q40yWs

“L’impossible décontamination“ La décontamination totale n’est pas possible. Les populations vont être exposées pendant des décennies. En cohérence avec les recommandations internationales prises sous l’impulsion du lobby nucléaire français, les autorités Japonaises ont multiplié par 20 les normes de radioactivité acceptables en cas de retombées radioactives.

Épisode 4 : https://www.youtube.com/atch?v=Gmm4gA9aLsE

Disponible en intégralité à partir de fin novembre sur la chaîne YouTube de la CRIIRAD
Durée complète : 47 min.


Roman

“De bonnes raisons de mourir“

Un cadavre atrocement mutilé suspendu à la façade d’un bâtiment. Une ancienne ville soviétique envoûtante et terrifiante. Deux enquêteurs, aux motivations divergentes, face à un tueur fou qui signe ses crimes d’une hirondelle empaillée. Et l’ombre d’un double meurtre perpétré en 1986, la nuit où la centrale de Tchernobyl a explosé... Morgan Audic signe un thriller époustouflant dans une Ukraine disloquée où se mêlent conflits armés, effondrement économique et revendications écologiques.

De bonnes raisons de mourir,
Morgan Audic,
éd. Albin Michel,
mai 2019, 496 p., 21,90 €


Essai

“Le nucléaire, c’est fini“

Alors que les géants du secteur font faillite, l’industrie nucléaire est menacée par d’innombrables tempêtes, inondations, sécheresses et canicules.... Mais pouvons-nous compter sur la dégradation des conditions financières et climatiques pour mettre fin à une production étroitement liée à des enjeux politiques et militaires ? Mêlant enquête et récits, ce livre déroule le fil de notre condition nucléaire et plaide pour un déconfinement radical. Plus qu’un diagnostic, c’est le signal d’une rupture : le nucléaire, c’est fini !

Interview de l’autrice : https://lundi.am/Le-nucleaire-c-est-fini

Le nucléaire, c’est fini,
La Parisienne libérée,
éd. La Fabrique,
septembre 2019, 216 p., 13 €


Documentaire

“La colère dans le vent“

Areva exploite l’uranium à Arlit au Ni-ger depuis 1976. La radioactivité ne se voit pas et la population n’est pas informée des risques qu’elle encourt. Une partie de l’année, de violents vents de sable empli de substances radioactives enveloppent entièrement la ville. La ville devient calme, toutes les activités sont stoppées. Le père de la réalisatrice, travailleur de la mine d’uranium en retraite, est au cœur du film. Il dépoussière ses souvenirs, les 35 années de son passage à la mine.

La colère dans le vent,
Amina Weira, 2016, 54 min, https://vimeo.com/ondemand/lacoleredanslevent
4 € ou 8 €



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