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Consultation sur le dossier de mise en service de l’EPR de Flamanville

Consultation sur la mise en service de l’EPR de Flamanville : des arguments prêts à l’emploi

Article publié le 6 juillet 2023



Vous voulez contribuer à la consultation de l’Autorité de Sûreté Nucléaire mais vous ne savez pas quoi dire ? Pas de problème, le Réseau "Sortir du nucléaire" vous a préparé une liste d’arguments ! Écologie, argent, mix énergétique, risques industriels... laissez-vous inspirer ! À utiliser sans modération et à modifier à votre convenance.



L’Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) a lancé le 5 juin 2023 jusqu’au 15 septembre une première consultation du public sur le dossier de mise en service de l’EPR de Flamanville, puis une seconde du 15 janvier au 15 février 2024, certaines pièces ayant été rajouté au dossier. L’ASN propose à celles et ceux qui le souhaitent de donner [leur avis en ligne (voir ici pour la première consultation et ici pour la seconde).

En manque d’inspiration ? Le Réseau "Sortir du nucléaire" vous propose plusieurs arguments pour vous opposer à cette mise en service. Attention cependant, plusieurs commentaires identiques ne seront comptabilisés que pour un par l’ASN. N’hésitez pas à modifier ceux qui vous sont proposés !

Vous voulez parler d’écologie ?

 Un réacteur nucléaire en service de plus, ce sont des rejets chimiques et radiologiques dans l’environnement en plus et ça c’est NON ! Il faut arrêter tout rejet de substances dans l’air, dans l’eau et dans les sols.

 L’EPR génère déjà des rejets de gaz à effet de serre plus puissants que le CO2 et le méthane par les fuites de liquides de refroidissement : c’est NON ! Tout rejet de gaz à effet de serre est de trop pour le climat.

 L’EPR n’est pas encore en service que déjà il dépasse les limites autorisées ! C’est arrivé en 2019, 2021 et 2023 (voir notre rubrique Accidents).

 L’EPR va pomper l’eau de la mer. Il massacre la faune et la flore marine qui se fait happer dans les prises d’eau : c’est NON ! Protégeons toute la biodiversité !

 L’EPR va rejeter de l’eau très chaude dans la mer : c’est NON ! Il faut préserver la ressource en eau et sa biodiversité !

 L’EPR rejette de la radioactivité en mer qui est absorbée par les êtres vivants et devient une part de leur organisme. C’est une forme de pollution pernicieuse et définitive du vivant (voir l’exemple des plantes aquatiques à Golfech).

 Les êtres aquatiques qui sont contaminés par la radioactivité rejetée en mer par l’EPR peuvent ensuite être consommés par l’homme et on ne connaît pas assez les conséquences de cette contamination de la chaîne anthropique.

 Ce réacteur nucléaire n’est pas adapté aux changements climatiques et il ne pourra jamais l’être.

 Les études faites pour mesurer les impacts sur l’environnement de ce réacteur sont trop anciennes et obsolètes.

  Il n’y a pas l’avis de l’Autorité environnementale dans le dossier. Or, cet avis est obligatoire. Cette pièce a été rajoutée au dossier soumis à consultation du public début 2024

 EDF doit réduire davantage les prélèvements d’eau et les rejets dans l’environnement de son réacteur EPR.

 Il y a eu des les fuites radioactives sur l’EPR de Taishan (Chine) qui n’avaient pas été anticipées. Ce n’est pas possible d’affirmer à 100% qu’il n’y en aura pas sur cet EPR-là.

 L’EPR va induire plus de transports de matières dangereuses et de pollutions : c’est NON !

Vous voulez parler d’argent ?

 Le réacteur a déjà coûté trop cher (près de 19 milliards selon la Cour des comptes) pour que l’électricité produite puisse être un jour rentable, autant arrêter les frais maintenant plutôt que de dépenser encore plus sur ce projet !

 Tout ce qui est investi dans ce réacteur ne le sera pas dans les énergies renouvelables.

 Tout l’argent investi dans ce réacteur nucléaire aurait été plus utile investi dans l’isolement des logements. Il faut arrêter de dépenser pour lui et mettre les sous ailleurs !

 Le réacteur EPR n’est pas dimensionné pour faire face aux aléas climatiques (inondations, sécheresse, températures extrêmes, orages, tornades, neige etc.) à venir et ça coûtera beaucoup trop cher de le modifier sans que ce soit possible rapidement ni efficace durablement.

 Le chantier a tellement de retard que plusieurs pièces et composants ont déjà vieilli avant même d’avoir servi. Il va falloir les remplacer ce qui va rallonger encore la facture déjà bien trop salée de cette machine.

 La cuve a été mal faite et devra être suivie de près pendant son fonctionnement ce qui va générer des doses de radiations et des frais supplémentaires.

 Le couvercle de la cuve devra être remplacé après seulement un cycle de fonctionnement (12 à 18 mois), ce qui va coûter très cher en argent, en dose de rayonnement pour les travailleurs et va créer un déchet radioactif supplémentaire à gérer.

 Les fissures apparues sur l’EPR finlandais peuvent apparaître sur l’EPR de Flamanville, il va falloir plus de contrôles et plus d’arrêts, ce qui va coûter trop cher.

 La corrosion sous contrainte est encore mal comprise, les causes profondes restent à identifier, c’est l’IRSN qui le dit. L’apparition de corrosion sous contrainte ne peut pas être écartée sur ce réacteur. Les contrôles vont coûter trop cher.

 L’ASN dit elle-même qu’elle n’a pas assez de moyens financiers et ne peut pas tout contrôler. Elle est obligée de croire EDF sur parole. L’ASN ne peut pas garantir qu’il n’y aura pas de problèmes passés inaperçus.

 EDF et ses fournisseurs ont déjà fraudé sur plusieurs équipements de ce réacteur nucléaire et sur d’autres. On ne peut pas leur faire confiance et l’ASN n’a pas assez de moyen pour tout contrôler.

 L’IRSN le dit dans son rapport 2022 : les soupapes du pressuriseur vont nécessiter un suivi en service qui va être couteux en temps, en argent et en dose de rayonnement !

Vous voulez parler du mix énergétique français ?

 Il faut produire de l’électricité autrement que par des réacteurs nucléaires. Il faut de petites installations de renouvelables qui soient locales et plus résilientes.

 Comme le montrent de nombreux scenarios, y compris du gouvernement (ADEME), les renouvelables peuvent suffire, la mise en service de ce réacteur nucléaire n’est pas nécessaire.

 La Manche n’a pas besoin de l’électricité de ce réacteur nucléaire.

Vous voulez parler du dossier en lui-même ?

 Le dossier est trop volumineux et technique pour qu’on puisse se faire un avis.

 Si on veut que le public donne son avis sur le dossier, il faut qu’il puisse comprendre les enjeux du projet : on veut une présentation détaillée, orale et visuelle de chaque pièce.

 On veut des avis d’experts indépendants, pas uniquement des études faites par EDF : il y a conflit d’intérêt !

 Même l’ASN trouve le dossier particulièrement complexe et a été obligée de prolonger la durée de son instruction.

 Le dossier est caviardé, trop d’informations sont masquées, il est impossible de l’analyser et d’en saisir le contenu.

 Sachant que la construction des EPR2 est conditionnée à la mise en service de l’EPR, on ne peut pas avoir confiance dans l’objectivité du dossier d’EDF, même relu par l’ASN.

Vous voulez parler des risques ?

 La filière nucléaire a perdu en compétences, le niveau de qualité de la construction et des études est insuffisant. Comment faire tourner une machine nucléaire qu’on n’a pas su construire ?

 Il n’y a toujours pas de solution pour les déchets nucléaires alors aucun nouveau réacteur ne doit être mis en service (les enfouir sous le tapis de la Terre n’est pas ce qu’on appelle une solution mais un cache-misère) !

 Le contrôle des réacteurs nucléaires repose sur un système déclaratif. Qui peut encore faire confiance à EDF et à ses fournisseurs pour tout dire et tout déclarer après tous les scandales de fraudes et de malfaçons qu’il y a eu ces dernières années ?

 Il y a eu beaucoup de fraudes sur des pièces, qui dit que tout ait été vérifié et qu’il n’y a pas d’autres défauts non découverts ?

 Les innombrables défauts et fragilités cumulés sur ce réacteur ne devraient-ils pas remettre en question sa mise en service ?

 Le réacteur n’est pas fait pour résister à une chute d’avion de ligne ni à une attaque armée, c’est trop risqué.

 EDF a tout prévu à Flamanville sauf les innombrables déboires de ce chantier et des autres EPR dans le monde... Comment croire aujourd’hui que cet exploitant est prêt à affronter les problèmes de demain ?

 Les soudures tiendront-elles au vu des nombreux problèmes déjà rencontrés ?

 Certaines soudures ne seront pas accessibles alors qu’elles devront être vérifiées durant l’exploitation.

 Le principe de l’exclusion de rupture peut-il encore être appliqué au vu des fragilités constatées (colliers de maintien sur les piquages, soudures reprises etc.) ?

 Le principe d’exclusion de rupture doit être écarté et EDF doit apporter toutes les justifications de sûreté qu’il n’a pas voulu réaliser jusque-là. Pas de mise en service sans démonstration de sûreté béton !

 Tous les essais d’ensemble n’ont pas encore tous été fait. Ils peuvent générer des modifications des équipements, des systèmes et des règles générales d’exploitation. Leurs résultats doivent être inclus dans le dossier soumis à consultation.

 La conservation des équipements sur l’EPR pose problème, plusieurs inspections de l’ASN l’ont montré.

 Est-ce opportun de démarrer une machine dont certaines pièces rouillent depuis 10 ans ?

 L’ASN dit elle-même dans son appréciation 2022 qu’il reste un travail important à mener en vue de la mise en service, le dossier n’est donc pas au point.

 L’ASN le dit dans son appréciation 2022 : le dossier de mise en service est encore en cours d’instruction. Il peut donc encore changer et n’est pas finalisé.

L’Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) a lancé le 5 juin 2023 jusqu’au 15 septembre une première consultation du public sur le dossier de mise en service de l’EPR de Flamanville, puis une seconde du 15 janvier au 15 février 2024, certaines pièces ayant été rajouté au dossier. L’ASN propose à celles et ceux qui le souhaitent de donner [leur avis en ligne (voir ici pour la première consultation et ici pour la seconde).

En manque d’inspiration ? Le Réseau "Sortir du nucléaire" vous propose plusieurs arguments pour vous opposer à cette mise en service. Attention cependant, plusieurs commentaires identiques ne seront comptabilisés que pour un par l’ASN. N’hésitez pas à modifier ceux qui vous sont proposés !

Vous voulez parler d’écologie ?

 Un réacteur nucléaire en service de plus, ce sont des rejets chimiques et radiologiques dans l’environnement en plus et ça c’est NON ! Il faut arrêter tout rejet de substances dans l’air, dans l’eau et dans les sols.

 L’EPR génère déjà des rejets de gaz à effet de serre plus puissants que le CO2 et le méthane par les fuites de liquides de refroidissement : c’est NON ! Tout rejet de gaz à effet de serre est de trop pour le climat.

 L’EPR n’est pas encore en service que déjà il dépasse les limites autorisées ! C’est arrivé en 2019, 2021 et 2023 (voir notre rubrique Accidents).

 L’EPR va pomper l’eau de la mer. Il massacre la faune et la flore marine qui se fait happer dans les prises d’eau : c’est NON ! Protégeons toute la biodiversité !

 L’EPR va rejeter de l’eau très chaude dans la mer : c’est NON ! Il faut préserver la ressource en eau et sa biodiversité !

 L’EPR rejette de la radioactivité en mer qui est absorbée par les êtres vivants et devient une part de leur organisme. C’est une forme de pollution pernicieuse et définitive du vivant (voir l’exemple des plantes aquatiques à Golfech).

 Les êtres aquatiques qui sont contaminés par la radioactivité rejetée en mer par l’EPR peuvent ensuite être consommés par l’homme et on ne connaît pas assez les conséquences de cette contamination de la chaîne anthropique.

 Ce réacteur nucléaire n’est pas adapté aux changements climatiques et il ne pourra jamais l’être.

 Les études faites pour mesurer les impacts sur l’environnement de ce réacteur sont trop anciennes et obsolètes.

  Il n’y a pas l’avis de l’Autorité environnementale dans le dossier. Or, cet avis est obligatoire. Cette pièce a été rajoutée au dossier soumis à consultation du public début 2024

 EDF doit réduire davantage les prélèvements d’eau et les rejets dans l’environnement de son réacteur EPR.

 Il y a eu des les fuites radioactives sur l’EPR de Taishan (Chine) qui n’avaient pas été anticipées. Ce n’est pas possible d’affirmer à 100% qu’il n’y en aura pas sur cet EPR-là.

 L’EPR va induire plus de transports de matières dangereuses et de pollutions : c’est NON !

Vous voulez parler d’argent ?

 Le réacteur a déjà coûté trop cher (près de 19 milliards selon la Cour des comptes) pour que l’électricité produite puisse être un jour rentable, autant arrêter les frais maintenant plutôt que de dépenser encore plus sur ce projet !

 Tout ce qui est investi dans ce réacteur ne le sera pas dans les énergies renouvelables.

 Tout l’argent investi dans ce réacteur nucléaire aurait été plus utile investi dans l’isolement des logements. Il faut arrêter de dépenser pour lui et mettre les sous ailleurs !

 Le réacteur EPR n’est pas dimensionné pour faire face aux aléas climatiques (inondations, sécheresse, températures extrêmes, orages, tornades, neige etc.) à venir et ça coûtera beaucoup trop cher de le modifier sans que ce soit possible rapidement ni efficace durablement.

 Le chantier a tellement de retard que plusieurs pièces et composants ont déjà vieilli avant même d’avoir servi. Il va falloir les remplacer ce qui va rallonger encore la facture déjà bien trop salée de cette machine.

 La cuve a été mal faite et devra être suivie de près pendant son fonctionnement ce qui va générer des doses de radiations et des frais supplémentaires.

 Le couvercle de la cuve devra être remplacé après seulement un cycle de fonctionnement (12 à 18 mois), ce qui va coûter très cher en argent, en dose de rayonnement pour les travailleurs et va créer un déchet radioactif supplémentaire à gérer.

 Les fissures apparues sur l’EPR finlandais peuvent apparaître sur l’EPR de Flamanville, il va falloir plus de contrôles et plus d’arrêts, ce qui va coûter trop cher.

 La corrosion sous contrainte est encore mal comprise, les causes profondes restent à identifier, c’est l’IRSN qui le dit. L’apparition de corrosion sous contrainte ne peut pas être écartée sur ce réacteur. Les contrôles vont coûter trop cher.

 L’ASN dit elle-même qu’elle n’a pas assez de moyens financiers et ne peut pas tout contrôler. Elle est obligée de croire EDF sur parole. L’ASN ne peut pas garantir qu’il n’y aura pas de problèmes passés inaperçus.

 EDF et ses fournisseurs ont déjà fraudé sur plusieurs équipements de ce réacteur nucléaire et sur d’autres. On ne peut pas leur faire confiance et l’ASN n’a pas assez de moyen pour tout contrôler.

 L’IRSN le dit dans son rapport 2022 : les soupapes du pressuriseur vont nécessiter un suivi en service qui va être couteux en temps, en argent et en dose de rayonnement !

Vous voulez parler du mix énergétique français ?

 Il faut produire de l’électricité autrement que par des réacteurs nucléaires. Il faut de petites installations de renouvelables qui soient locales et plus résilientes.

 Comme le montrent de nombreux scenarios, y compris du gouvernement (ADEME), les renouvelables peuvent suffire, la mise en service de ce réacteur nucléaire n’est pas nécessaire.

 La Manche n’a pas besoin de l’électricité de ce réacteur nucléaire.

Vous voulez parler du dossier en lui-même ?

 Le dossier est trop volumineux et technique pour qu’on puisse se faire un avis.

 Si on veut que le public donne son avis sur le dossier, il faut qu’il puisse comprendre les enjeux du projet : on veut une présentation détaillée, orale et visuelle de chaque pièce.

 On veut des avis d’experts indépendants, pas uniquement des études faites par EDF : il y a conflit d’intérêt !

 Même l’ASN trouve le dossier particulièrement complexe et a été obligée de prolonger la durée de son instruction.

 Le dossier est caviardé, trop d’informations sont masquées, il est impossible de l’analyser et d’en saisir le contenu.

 Sachant que la construction des EPR2 est conditionnée à la mise en service de l’EPR, on ne peut pas avoir confiance dans l’objectivité du dossier d’EDF, même relu par l’ASN.

Vous voulez parler des risques ?

 La filière nucléaire a perdu en compétences, le niveau de qualité de la construction et des études est insuffisant. Comment faire tourner une machine nucléaire qu’on n’a pas su construire ?

 Il n’y a toujours pas de solution pour les déchets nucléaires alors aucun nouveau réacteur ne doit être mis en service (les enfouir sous le tapis de la Terre n’est pas ce qu’on appelle une solution mais un cache-misère) !

 Le contrôle des réacteurs nucléaires repose sur un système déclaratif. Qui peut encore faire confiance à EDF et à ses fournisseurs pour tout dire et tout déclarer après tous les scandales de fraudes et de malfaçons qu’il y a eu ces dernières années ?

 Il y a eu beaucoup de fraudes sur des pièces, qui dit que tout ait été vérifié et qu’il n’y a pas d’autres défauts non découverts ?

 Les innombrables défauts et fragilités cumulés sur ce réacteur ne devraient-ils pas remettre en question sa mise en service ?

 Le réacteur n’est pas fait pour résister à une chute d’avion de ligne ni à une attaque armée, c’est trop risqué.

 EDF a tout prévu à Flamanville sauf les innombrables déboires de ce chantier et des autres EPR dans le monde... Comment croire aujourd’hui que cet exploitant est prêt à affronter les problèmes de demain ?

 Les soudures tiendront-elles au vu des nombreux problèmes déjà rencontrés ?

 Certaines soudures ne seront pas accessibles alors qu’elles devront être vérifiées durant l’exploitation.

 Le principe de l’exclusion de rupture peut-il encore être appliqué au vu des fragilités constatées (colliers de maintien sur les piquages, soudures reprises etc.) ?

 Le principe d’exclusion de rupture doit être écarté et EDF doit apporter toutes les justifications de sûreté qu’il n’a pas voulu réaliser jusque-là. Pas de mise en service sans démonstration de sûreté béton !

 Tous les essais d’ensemble n’ont pas encore tous été fait. Ils peuvent générer des modifications des équipements, des systèmes et des règles générales d’exploitation. Leurs résultats doivent être inclus dans le dossier soumis à consultation.

 La conservation des équipements sur l’EPR pose problème, plusieurs inspections de l’ASN l’ont montré.

 Est-ce opportun de démarrer une machine dont certaines pièces rouillent depuis 10 ans ?

 L’ASN dit elle-même dans son appréciation 2022 qu’il reste un travail important à mener en vue de la mise en service, le dossier n’est donc pas au point.

 L’ASN le dit dans son appréciation 2022 : le dossier de mise en service est encore en cours d’instruction. Il peut donc encore changer et n’est pas finalisé.



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