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Depuis 1998, le Réseau "Sortir du nucléaire" a été à l’initiative des nombreuses campagnes.


Compte rendu et photos




Compte rendu des commémorations de Fukushima

Entre le 7 et le 14 mars, à l’appel du Réseau « Sortir du nucléaire », de nombreuses actions de commémoration de la catastrophe de Fukushima ont eu lieu un peu partout en France, avec l’organisation de manifestations, de projections-débats, de rassemblements… En solidarité avec les victimes, quatre ans après cette terrible catastrophe.

Dès le week-end précédant l’anniversaire de la catastrophe, une manifestation a rassemblé près de 500 personnes le samedi 7 mars après-midi dans les rues de Strasbourg, à la mémoire des victimes des catastrophes de Fukushima, et pour exiger la fermeture de la centrale de Fessenheim. Cette dernière qui par ailleurs était totalement arrêtée depuis le 1er mars, suite à l’interruption de ses deux unités de production.

À Paris, la mobilisation s’est déroulée en deux temps. Une première action initiée par le Réseau a eu lieu dans la nuit du 10 au 11 mars. Des images du street-artiste 281_antinuke ont été projetées sur les façades de l’agence EDF Opéra, de l’ambassade du Japon et du ministère de l’Écologie. Ces photos ont ensuite été envoyées aux médias via notre communiqué de presse du 11 mars, et sur les Réseaux Sociaux. Nous avons pour l’occasion travaillé avec deux militants qui ont conçu des projecteurs spécifiques pour les manifestations.

Le soir du 11 mars, 150 personnes se sont retrouvées sur la place de la République à Paris pour une action de commémoration de la catastrophe de Fukushima, en solidarité avec le peuple japonais, et pour dire non au nucléaire. Au programme, musique classique (Maitane Sebastian) et musique japonaise (Maïa Barouh) suivies de prises de parole sur la situation à Fukushima et d’une minute de silence. La soirée s’est conclue avec des projections sur la statue de la République où l’on pouvait voir une centrale fissurée avec le slogan « Fukushima, demain chez nous ? », tout cela au son de HK, venu spécialement à Paris pour interpréter sa nouvelle chanson « Fukushima mon amour ». Aussi, une installation lumineuse d’une dizaine de projecteurs a été mise en place à la nuit tombée, projetant sur les passants des centaines de trèfles radioactifs verts, ce qui a beaucoup intrigué et étonné, provoquant la discussion avec de nombreuses personnes qui traversaient la place.

À Tours, une dizaine de militants antinucléaires se sont retrouvés à l’appel de l’association « La Terre c’est nous » devant l’agence EDF à 11h30, le vendredi 13 mars. Il s’agissait d’informer les clients d’EDF du danger que représente l’industrie nucléaire, et d’exercer une pression citoyenne pour demander la fermeture immédiate de la centrale nucléaire de Fessenheim. Des tracts ont été distribués à l’intérieur de l’agence EDF et des cartes de la France nucléaire collées sur la devanture de la boutique.

Au Mans, ils étaient une trentaine de militants à converger vers le centre-ville le 11 mars, équipés d’une grande banderole où l’on pouvait lire « Fukushima, la catastrophe continue », qui permet de rappeler aux passants que la catastrophe n’en est qu’à ses débuts.

Le 14 mars, une grande chaîne humaine a eu lieu dans le sud-est de la France, entre les sites nucléaires de Tricastin, Marcoule et Cadarache, rassemblant un millier de personnes, à l’appel des associations "Réaction en Chaîne Humaine", SDN Sud-Ardèche et SDN Drôme. Devant l’installation nucléaire de Marcoule, les antinucléaires ont longé le site sans problème, escortés par une voiture de gendarmerie qui ouvrait et fermait la chaîne. Nous avons crié et tapé sur la balustrade métallique pour dénoncer ASTRID, ITER et le nucléaire avec les faillites d’AREVA et sa gabegie financière, les déchets à Bure et la radioactivité partout ! La lettre des mères de Fukushima a été lue avant le départ de la chaîne et une minute de silence a été observée vers 15 h.

Compte rendu des commémorations de Fukushima

Entre le 7 et le 14 mars, à l’appel du Réseau « Sortir du nucléaire », de nombreuses actions de commémoration de la catastrophe de Fukushima ont eu lieu un peu partout en France, avec l’organisation de manifestations, de projections-débats, de rassemblements… En solidarité avec les victimes, quatre ans après cette terrible catastrophe.

Dès le week-end précédant l’anniversaire de la catastrophe, une manifestation a rassemblé près de 500 personnes le samedi 7 mars après-midi dans les rues de Strasbourg, à la mémoire des victimes des catastrophes de Fukushima, et pour exiger la fermeture de la centrale de Fessenheim. Cette dernière qui par ailleurs était totalement arrêtée depuis le 1er mars, suite à l’interruption de ses deux unités de production.

À Paris, la mobilisation s’est déroulée en deux temps. Une première action initiée par le Réseau a eu lieu dans la nuit du 10 au 11 mars. Des images du street-artiste 281_antinuke ont été projetées sur les façades de l’agence EDF Opéra, de l’ambassade du Japon et du ministère de l’Écologie. Ces photos ont ensuite été envoyées aux médias via notre communiqué de presse du 11 mars, et sur les Réseaux Sociaux. Nous avons pour l’occasion travaillé avec deux militants qui ont conçu des projecteurs spécifiques pour les manifestations.

Le soir du 11 mars, 150 personnes se sont retrouvées sur la place de la République à Paris pour une action de commémoration de la catastrophe de Fukushima, en solidarité avec le peuple japonais, et pour dire non au nucléaire. Au programme, musique classique (Maitane Sebastian) et musique japonaise (Maïa Barouh) suivies de prises de parole sur la situation à Fukushima et d’une minute de silence. La soirée s’est conclue avec des projections sur la statue de la République où l’on pouvait voir une centrale fissurée avec le slogan « Fukushima, demain chez nous ? », tout cela au son de HK, venu spécialement à Paris pour interpréter sa nouvelle chanson « Fukushima mon amour ». Aussi, une installation lumineuse d’une dizaine de projecteurs a été mise en place à la nuit tombée, projetant sur les passants des centaines de trèfles radioactifs verts, ce qui a beaucoup intrigué et étonné, provoquant la discussion avec de nombreuses personnes qui traversaient la place.

À Tours, une dizaine de militants antinucléaires se sont retrouvés à l’appel de l’association « La Terre c’est nous » devant l’agence EDF à 11h30, le vendredi 13 mars. Il s’agissait d’informer les clients d’EDF du danger que représente l’industrie nucléaire, et d’exercer une pression citoyenne pour demander la fermeture immédiate de la centrale nucléaire de Fessenheim. Des tracts ont été distribués à l’intérieur de l’agence EDF et des cartes de la France nucléaire collées sur la devanture de la boutique.

Au Mans, ils étaient une trentaine de militants à converger vers le centre-ville le 11 mars, équipés d’une grande banderole où l’on pouvait lire « Fukushima, la catastrophe continue », qui permet de rappeler aux passants que la catastrophe n’en est qu’à ses débuts.

Le 14 mars, une grande chaîne humaine a eu lieu dans le sud-est de la France, entre les sites nucléaires de Tricastin, Marcoule et Cadarache, rassemblant un millier de personnes, à l’appel des associations "Réaction en Chaîne Humaine", SDN Sud-Ardèche et SDN Drôme. Devant l’installation nucléaire de Marcoule, les antinucléaires ont longé le site sans problème, escortés par une voiture de gendarmerie qui ouvrait et fermait la chaîne. Nous avons crié et tapé sur la balustrade métallique pour dénoncer ASTRID, ITER et le nucléaire avec les faillites d’AREVA et sa gabegie financière, les déchets à Bure et la radioactivité partout ! La lettre des mères de Fukushima a été lue avant le départ de la chaîne et une minute de silence a été observée vers 15 h.



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