Plusieurs milliers de personnes se sont réunies ce week-end du 1er au 2 octobre pour manifester contre l’EPR et la politique nucléaire française.
Des militants de toute la France s’étaient donnés rendez-vous bravant le vent et la grêle pour crier haut et fort leur rejet de ce mode de production d’énergie dangereux, couteux et dépassé.
En préparation depuis plus d’un an et demi par le Collectif Anti-Nucléaire Ouest, la manifestation contre l’EPR de Flamanville et le rafistolage des réacteurs s’est tenue le week-end des 1er et 2 octobre à Siouville. Dix-sept cars avaient été affrétés par des groupes antinucléaires depuis Strasbourg, Paris, la Normandie, la Bretagne…
Au total, 5000 personnes ont répondu présent à l’appel du CANO. L’orage de grêle n’aura pas atteint l’enthousiasme des manifestants pour se rendre devant la centrale, six kilomètres plus loin. Le cortège s’est arrêté sur le port de Diélette pour écouter les différentes prises de parole, notamment de Didier Anger, acteur historique de la lutte, qui a rappelé l’ineptie de ce réacteur EPR qui voulait être une vitrine du nucléaire, mais qui accumule les fiascos !
Le soir, les militants ont pu se réchauffer au son des guitares en écoutant les groupes « Les pieds dans le bocal », « Provisoire » et les « Ramoneurs de menhirs » !
Le dimanche était consacré aux risques techniques et aux alternatives, lors de deux conférences.
En préparation depuis plus d’un an et demi par le Collectif Anti-Nucléaire Ouest, la manifestation contre l’EPR de Flamanville et le rafistolage des réacteurs s’est tenue le week-end des 1er et 2 octobre à Siouville. Dix-sept cars avaient été affrétés par des groupes antinucléaires depuis Strasbourg, Paris, la Normandie, la Bretagne…
Au total, 5000 personnes ont répondu présent à l’appel du CANO. L’orage de grêle n’aura pas atteint l’enthousiasme des manifestants pour se rendre devant la centrale, six kilomètres plus loin. Le cortège s’est arrêté sur le port de Diélette pour écouter les différentes prises de parole, notamment de Didier Anger, acteur historique de la lutte, qui a rappelé l’ineptie de ce réacteur EPR qui voulait être une vitrine du nucléaire, mais qui accumule les fiascos !
Le soir, les militants ont pu se réchauffer au son des guitares en écoutant les groupes « Les pieds dans le bocal », « Provisoire » et les « Ramoneurs de menhirs » !
Le dimanche était consacré aux risques techniques et aux alternatives, lors de deux conférences.