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Agenda

 
1er
jui
Action permanente

Interpellation et sensibilisation des élus locaux

Toutes les communes de Corrèze (19) - Limousin


À partir du 26 avril et jusqu’à début juillet


Nous invitons chaque sympathisant habitant en Corrèze à prendre connaissance du courrier ci-dessous qui a été envoyé à son conseil municipal ainsi qu'aux 284 autres conseils municipaux de Corrèze.

Avec ce courrier, nous avons envoyé la motion ci-jointe (à discuter et voter par votre conseil municipal) et de la documentation du Réseau "Sortir du nucléaire".

Un communiqué est déjà paru dans la Montagne le dimanche 26 avril.

Le feuilleton ne fait que commencer car d'autres communiqués sont prévus pour faire connaitre les positions des communes concernant la motion que nous leur avons proposé de discuter.

Nous remercions d'avance les personnes qui se porteront volontaires pour se renseigner au secrétariat de leur mairie sur les suites que va donner leur conseil municipal à notre courrier.

Il est important que ceux qui acceptent d'entreprendre cette démarche auprès de leur mairie nous contactent : tél : 05.55.84.06.70 ou 05.55.26.07.76

Si ces volontaires connaissent d'autres personnes dans leur village qui partagent nos convictions et notre engagement pour un monde sans nucléaire civil et militaire, il est bien de les associer à leur démarche auprès de leur mairie : elle n'en aura que plus de poids !

Voici le courrier envoyé aux communes de Corrèze :

Collectif corrézien pour la sortir du nucléaire et contre l'enfouissement des déchets radioactifs 2 rue de la Bride - 19000 Tulle tel : 05.55.84.06.70 - 05.55.26.07.76

Mesdames, Messieurs les élu(e)s de la commune de ………………………………………………

Notre collectif citoyen souhaite en dehors du clivage politique gauche droite, rassembler en Corrèze toutes les personnes physiques et morales, favorables à des alternatives écologiques et humanistes à l'énergie nucléaire civil et militaire.

Parmi les arguments qui nous font nous opposer à la relance nucléaire annoncée dans la loi de transition énergétique pour une croissance verte, l'argument économique est en bonne place après celui de la santé publique et de la morale.

De l'extraction du minerai à l'enfouissement des déchets dans la Meuse, la filière nucléaire porte atteinte aux valeurs humanistes que nous prônons aux frontons de nos mairies.

Nous le savons maintenant par expérience, le développement des économies d'énergie, de l'efficacité énergétique et des renouvelables créent davantage d'emplois que le nucléaire .

En autorisant de nouveaux investissement dans le maintien de la filière nucléaire, cette loi signe l'arrêt de mort d'une transition sociétale écologique dont dépend notre survie en la privant cruellement de moyens pour se développer.

Si, aujourd'hui, le lobby nucléaire, obtient le soutien financier de l’État Français pour prolonger le fonctionnement des réacteurs et poursuivre ses projets délirants (EPR, Astrid, ITER, CIGEO…), ne doutons pas que nous aurons raté l'ultime opportunité de changer de cap avant la catastrophe

Chacun, à son niveau, peut peser pour un plan de sortie urgente du nucléaire en interpellant les parlementaires en charge de décider prochainement de l'avenir énergétique de la France.

Rappellons que la Corrèze, ses élus, ses citoyen(ne)s se sont toujours opposés au nucléaire, en refusant les mines d'Uranium dans les Monédières et l'enfouissement des déchets à Saint Julien le Vendômois et continue de se battre aujourd'hui notamment contre le projet d'Areva d'entreposer des stériles au LONGY sur le plateau de millevaches.

Nous vous invitons à prendre connaissance de l'actualité en consultant les documents ci-joints et le site du réseau sortir du nucléaire et à soumettre au vote la motion ci-jointe lors de votre prochain Conseil municipal. Ce texte de motion est destiné à être envoyé aux sénateurs et députés de Corrèze pour les interpeller.

Merci d'avance de l'intérêt que vous porterez à notre proposition. Nous apprécierions d' être tenus au courant des conclusions de votre délibération et des résultats du vote concernant cette motion.

Soyez assurés, mesdames et messieurs les élus, de nos sentiments les meilleurs

PROPOSITION de MOTION SOUMISE aux CONSEILS MUNICIPAUX de CORRÈZE

MOTION de délibération Interpellation des parlementaires de Corrèze pour une loi de transition énergétique au profit de l'efficacité énergétique, des économies d'énergie et des énergies renouvelables et non au maintien et au développement de la filière électronucléaire.

Considérant que le débat sur la transition énergétique a été lancé dans un contexte post-Fukushima comme réponse aux inquiétudes légitimes des Français par rapport au devenir du parc électronucléaire vieillissant ;

Considérant l'opportunité du contexte énergétique : le parc électronucléaire français arrive en fin de vie (33 réacteurs sur les 58 ont dépassés les 30 ans de fonctionnement) ; la multiplication inquiétante des « incidents » dus à l'usure font craindre le pire et des coûts de maintenance exponentiels !

Considérant la situation économique désastreuse d'Areva : 4,9 milliards d’euros de perte selon un récent rapport de la Cour des comptes ;

Considérant le coût de la gestion des déchets et du démantèlement des installations : N'ayant pas été approvisionnés et comptabilisés dans le prévisionnel de la construction du parc électronucléaire à la charge de la collectivité, ces coûts « cachés » et exponentiels devront être assumés par les générations futures.

Considérant les dangereuses anomalies dans la fabrication de la cuve du réacteur EPR en construction à Flamanville et l'enlisement financier des chantiers des réacteurs EPR (Olkiluoto en Finlande et Flamanville en France) ;

Considérant les conséquences dramatiques qui résultent de cette situation financière : des économies vont être faites sur le dos des travailleurs du nucléaire et sur la sûreté des installations. D'ores et déjà, certaines opérations de maintenance sont effectuées à la va-vite et certains contrôles passent à la trappe faute de moyens. Pourtant l’état de vétusté du parc est réel selon certains rapports de l'Agence de Sûreté Nucléaire ;

Considérant que la protection du territoire national et des populations n'a pas de prix et doit être la vocation première d'un état souverain qui se dit démocrate, libre et républicain, le gouvernement en place se doit par mesure de précaution élémentaire de décider d’un plan de sortie urgente du nucléaire ;

Considérant qu'aucune assurance ne peut couvrir le coût d'une catastrophe nucléaire en France. Selon le très officiel Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (ISRN), un accident « modéré » de type Three Mile Island coûterait environ 70 milliards d'euros, et un accident grave comme Tchernobyl ou Fukushima 600 à 1 000 milliards d'euros. Un nouveau protocole, conclu en 2004, augmente certes les montants des indemnisations, les portant à 700 millions d'euros pour la part à la charge de l'exploitant, ce qui ne représente que 1% du coût d'un accident modéré, comme le précise l'ASN !

Considérant le lien étroit entre l'industrie dite « civile » et la prolifération nucléaire à usage militaire ;

Considérant l'amendement de la loi de transition énergétique par le Sénat qui supprime l'objectif déjà peu ambitieux de réduire la part du nucléaire de 75 à 50 % d'ici 2025 et autorise l’augmentation de la puissance nucléaire installée pour permettre la mise en service de l'EPR de Flamanville sans fermer la centrale de Fessenheim !

Alors que les énergies renouvelables deviennent plus compétitives que le nucléaire (dont les coûts, eux, ne cessent de croître) et qu’elles représentent déjà presque 5 fois plus d’emplois dans l’Union Européenne,

Nous, élus au conseil municipal de la commune de ...... en Corrèze, demandons à messieurs et mesdames les députés et sénateurs de Corrèze, d' interpeller les membres de la commission parlementaire mixte pour que soit retiré l'alinéa 28 de l'article 1er de la loi de transition énergétique qui protège et pérennise le lobby nucléaire.

Nous souhaitons, au nom des territoires et des populations que nous représentons, que la loi sur la transition énergétique permette à l'Etat Français, actionnaire majoritaire d’Areva, d'impulser la reconversion de la filière nucléaire dans son ensemble vers les alternatives énergétiques (les économies d'énergie et les renouvelables représentent déjà presque 5 fois plus d’emplois que le nucléaire dans l’Union Européenne).

Le nucléaire n'est pas une solution à l'effet de serre. C'est l'énergie qu'on ne consomme pas qui est de loin la moins polluante et la moins chère et qu'il faut avant tout encourager financièrement aujourd'hui.

Les économies d'énergie, l’efficacité énergétique et les renouvelables doivent être le fer de lance d'une transition énergétique garante des valeurs humanistes prônées au fronton de nos mairies. Rappelons que la Corrèze, ses élu(e)s, ses citoyen(ne)s se sont toujours opposé(e)s au nucléaire, en refusant les mines d'Uranium dans les Monédières et l'enfouissement des déchets à Saint Julien le Vendômois et continuent de se battre aujourd'hui notamment contre le projet d'Areva d'entreposer des stériles au LONGY sur le plateau de millevaches.

Le maintien sous perfusion de la filière nucléaire, notamment par l’appel de Ségolène Royal à des « synergies » entre Areva, EDF et le CEA, ne reviendra qu’à prolonger la coûteuse et dangereuse agonie d’une industrie destinée à péricliter en nous entraînant tous dans son sillage.

Si, aujourd'hui, le lobby nucléaire obtient le soutien financier de l’État Français pour prolonger le fonctionnement des réacteurs et poursuivre ses projets (EPR, Astrid, ITER, CIGEO…), ne doutons pas que nous aurons raté l'ultime opportunité de changer de cap sereinement.

L'heure est grave et chacun se doit d'avoir le courage politique de peser pour que la France sorte de l'impasse nucléaire avant que ne se produise une catastrophe irrémédiable.

Anne Meyssignac et Philippe Bernis Tel : 05.55.84.06.70 ou 05.55.26.07.76 sortirdunucleaire19@gmail.com

Nous invitons chaque sympathisant habitant en Corrèze à prendre connaissance du courrier ci-dessous qui a été envoyé à son conseil municipal ainsi qu'aux 284 autres conseils municipaux de Corrèze.

Avec ce courrier, nous avons envoyé la motion ci-jointe (à discuter et voter par votre conseil municipal) et de la documentation du Réseau "Sortir du nucléaire".

Un communiqué est déjà paru dans la Montagne le dimanche 26 avril.

Le feuilleton ne fait que commencer car d'autres communiqués sont prévus pour faire connaitre les positions des communes concernant la motion que nous leur avons proposé de discuter.

Nous remercions d'avance les personnes qui se porteront volontaires pour se renseigner au secrétariat de leur mairie sur les suites que va donner leur conseil municipal à notre courrier.

Il est important que ceux qui acceptent d'entreprendre cette démarche auprès de leur mairie nous contactent : tél : 05.55.84.06.70 ou 05.55.26.07.76

Si ces volontaires connaissent d'autres personnes dans leur village qui partagent nos convictions et notre engagement pour un monde sans nucléaire civil et militaire, il est bien de les associer à leur démarche auprès de leur mairie : elle n'en aura que plus de poids !

Voici le courrier envoyé aux communes de Corrèze :

Collectif corrézien pour la sortir du nucléaire et contre l'enfouissement des déchets radioactifs 2 rue de la Bride - 19000 Tulle tel : 05.55.84.06.70 - 05.55.26.07.76

Mesdames, Messieurs les élu(e)s de la commune de ………………………………………………

Notre collectif citoyen souhaite en dehors du clivage politique gauche droite, rassembler en Corrèze toutes les personnes physiques et morales, favorables à des alternatives écologiques et humanistes à l'énergie nucléaire civil et militaire.

Parmi les arguments qui nous font nous opposer à la relance nucléaire annoncée dans la loi de transition énergétique pour une croissance verte, l'argument économique est en bonne place après celui de la santé publique et de la morale.

De l'extraction du minerai à l'enfouissement des déchets dans la Meuse, la filière nucléaire porte atteinte aux valeurs humanistes que nous prônons aux frontons de nos mairies.

Nous le savons maintenant par expérience, le développement des économies d'énergie, de l'efficacité énergétique et des renouvelables créent davantage d'emplois que le nucléaire .

En autorisant de nouveaux investissement dans le maintien de la filière nucléaire, cette loi signe l'arrêt de mort d'une transition sociétale écologique dont dépend notre survie en la privant cruellement de moyens pour se développer.

Si, aujourd'hui, le lobby nucléaire, obtient le soutien financier de l’État Français pour prolonger le fonctionnement des réacteurs et poursuivre ses projets délirants (EPR, Astrid, ITER, CIGEO…), ne doutons pas que nous aurons raté l'ultime opportunité de changer de cap avant la catastrophe

Chacun, à son niveau, peut peser pour un plan de sortie urgente du nucléaire en interpellant les parlementaires en charge de décider prochainement de l'avenir énergétique de la France.

Rappellons que la Corrèze, ses élus, ses citoyen(ne)s se sont toujours opposés au nucléaire, en refusant les mines d'Uranium dans les Monédières et l'enfouissement des déchets à Saint Julien le Vendômois et continue de se battre aujourd'hui notamment contre le projet d'Areva d'entreposer des stériles au LONGY sur le plateau de millevaches.

Nous vous invitons à prendre connaissance de l'actualité en consultant les documents ci-joints et le site du réseau sortir du nucléaire et à soumettre au vote la motion ci-jointe lors de votre prochain Conseil municipal. Ce texte de motion est destiné à être envoyé aux sénateurs et députés de Corrèze pour les interpeller.

Merci d'avance de l'intérêt que vous porterez à notre proposition. Nous apprécierions d' être tenus au courant des conclusions de votre délibération et des résultats du vote concernant cette motion.

Soyez assurés, mesdames et messieurs les élus, de nos sentiments les meilleurs

PROPOSITION de MOTION SOUMISE aux CONSEILS MUNICIPAUX de CORRÈZE

MOTION de délibération Interpellation des parlementaires de Corrèze pour une loi de transition énergétique au profit de l'efficacité énergétique, des économies d'énergie et des énergies renouvelables et non au maintien et au développement de la filière électronucléaire.

Considérant que le débat sur la transition énergétique a été lancé dans un contexte post-Fukushima comme réponse aux inquiétudes légitimes des Français par rapport au devenir du parc électronucléaire vieillissant ;

Considérant l'opportunité du contexte énergétique : le parc électronucléaire français arrive en fin de vie (33 réacteurs sur les 58 ont dépassés les 30 ans de fonctionnement) ; la multiplication inquiétante des « incidents » dus à l'usure font craindre le pire et des coûts de maintenance exponentiels !

Considérant la situation économique désastreuse d'Areva : 4,9 milliards d’euros de perte selon un récent rapport de la Cour des comptes ;

Considérant le coût de la gestion des déchets et du démantèlement des installations : N'ayant pas été approvisionnés et comptabilisés dans le prévisionnel de la construction du parc électronucléaire à la charge de la collectivité, ces coûts « cachés » et exponentiels devront être assumés par les générations futures.

Considérant les dangereuses anomalies dans la fabrication de la cuve du réacteur EPR en construction à Flamanville et l'enlisement financier des chantiers des réacteurs EPR (Olkiluoto en Finlande et Flamanville en France) ;

Considérant les conséquences dramatiques qui résultent de cette situation financière : des économies vont être faites sur le dos des travailleurs du nucléaire et sur la sûreté des installations. D'ores et déjà, certaines opérations de maintenance sont effectuées à la va-vite et certains contrôles passent à la trappe faute de moyens. Pourtant l’état de vétusté du parc est réel selon certains rapports de l'Agence de Sûreté Nucléaire ;

Considérant que la protection du territoire national et des populations n'a pas de prix et doit être la vocation première d'un état souverain qui se dit démocrate, libre et républicain, le gouvernement en place se doit par mesure de précaution élémentaire de décider d’un plan de sortie urgente du nucléaire ;

Considérant qu'aucune assurance ne peut couvrir le coût d'une catastrophe nucléaire en France. Selon le très officiel Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (ISRN), un accident « modéré » de type Three Mile Island coûterait environ 70 milliards d'euros, et un accident grave comme Tchernobyl ou Fukushima 600 à 1 000 milliards d'euros. Un nouveau protocole, conclu en 2004, augmente certes les montants des indemnisations, les portant à 700 millions d'euros pour la part à la charge de l'exploitant, ce qui ne représente que 1% du coût d'un accident modéré, comme le précise l'ASN !

Considérant le lien étroit entre l'industrie dite « civile » et la prolifération nucléaire à usage militaire ;

Considérant l'amendement de la loi de transition énergétique par le Sénat qui supprime l'objectif déjà peu ambitieux de réduire la part du nucléaire de 75 à 50 % d'ici 2025 et autorise l’augmentation de la puissance nucléaire installée pour permettre la mise en service de l'EPR de Flamanville sans fermer la centrale de Fessenheim !

Alors que les énergies renouvelables deviennent plus compétitives que le nucléaire (dont les coûts, eux, ne cessent de croître) et qu’elles représentent déjà presque 5 fois plus d’emplois dans l’Union Européenne,

Nous, élus au conseil municipal de la commune de ...... en Corrèze, demandons à messieurs et mesdames les députés et sénateurs de Corrèze, d' interpeller les membres de la commission parlementaire mixte pour que soit retiré l'alinéa 28 de l'article 1er de la loi de transition énergétique qui protège et pérennise le lobby nucléaire.

Nous souhaitons, au nom des territoires et des populations que nous représentons, que la loi sur la transition énergétique permette à l'Etat Français, actionnaire majoritaire d’Areva, d'impulser la reconversion de la filière nucléaire dans son ensemble vers les alternatives énergétiques (les économies d'énergie et les renouvelables représentent déjà presque 5 fois plus d’emplois que le nucléaire dans l’Union Européenne).

Le nucléaire n'est pas une solution à l'effet de serre. C'est l'énergie qu'on ne consomme pas qui est de loin la moins polluante et la moins chère et qu'il faut avant tout encourager financièrement aujourd'hui.

Les économies d'énergie, l’efficacité énergétique et les renouvelables doivent être le fer de lance d'une transition énergétique garante des valeurs humanistes prônées au fronton de nos mairies. Rappelons que la Corrèze, ses élu(e)s, ses citoyen(ne)s se sont toujours opposé(e)s au nucléaire, en refusant les mines d'Uranium dans les Monédières et l'enfouissement des déchets à Saint Julien le Vendômois et continuent de se battre aujourd'hui notamment contre le projet d'Areva d'entreposer des stériles au LONGY sur le plateau de millevaches.

Le maintien sous perfusion de la filière nucléaire, notamment par l’appel de Ségolène Royal à des « synergies » entre Areva, EDF et le CEA, ne reviendra qu’à prolonger la coûteuse et dangereuse agonie d’une industrie destinée à péricliter en nous entraînant tous dans son sillage.

Si, aujourd'hui, le lobby nucléaire obtient le soutien financier de l’État Français pour prolonger le fonctionnement des réacteurs et poursuivre ses projets (EPR, Astrid, ITER, CIGEO…), ne doutons pas que nous aurons raté l'ultime opportunité de changer de cap sereinement.

L'heure est grave et chacun se doit d'avoir le courage politique de peser pour que la France sorte de l'impasse nucléaire avant que ne se produise une catastrophe irrémédiable.

Anne Meyssignac et Philippe Bernis Tel : 05.55.84.06.70 ou 05.55.26.07.76 sortirdunucleaire19@gmail.com




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