La Cogema refuse « toute polémique ». Mais rappelle qu’elle avait déjà appelé à « l’arrêt des comportements à risque ».
NANCY. - Plus de 2.000 tonnes. C’est, selon la Cogema, la masse du type de train dont a été victime le jeune militant antinucléaire. Une masse qui peut nécessiter, comme l’explique un cheminot, jusqu’à mille mètres pour un arrêt complet. Et rend forcément dangereuse des interventions comme celle des manifestants sur les voies.
La Cogema (groupe Areva), qui se refuse à (...)