Par Philippe Ryfman, professeur et chercheur associé au département de science politique de l’Université Paris I-Sorbonne.
BIEN des organisations non gouvernementales (ONG) estiment aujourd’hui qu’exister rime, pour elles, avec communiquer. Qu’il s’agisse d’aide humanitaire, de programmes de développement, de défense des droits humains ou d’environnement, le " savoir-faire " et l’activisme non gouvernemental se concevraient de moins en moins sans le " faire savoir ".
Les petites (...)