« Si un jour on connaît les effets réels des rejets, il sera trop tard car les déchets radioactifs seront dans l’environnement et pour longtemps »…
« Pour savoir si une dose donnée de rayonnement présente un danger : il n’y a qu’une méthode : étudier une population nombreuse qui a été irradiée avec cette dose, attendre la mort des gens et entreprendre une étude statistique qui dira si oui ou non cette population a subi un risque important. » *
Propos tenus par un scientifique huit ans avant la catastrophe de Tchernobyl : cynisme ou prémonition ?
Vingt-trois ans après Tchernobyl, dans un contexte affiché de relance du nucléaire, à l’heure où politiques et industriels s’efforcent de nous présenter cette industrie comme une « énergie propre », où la vie des plus vieilles centrales françaises risque d’être prolongée à 40 ans, nous estimons urgent que la communauté médicale et scientifique s’empare du sujet et se mobilise.
A Marseille le 31 octobre 2009, des experts français et étrangers montreront les effets du nucléaire sur la santé des populations et des travailleurs (irradiations, contaminations, faibles doses internes chroniques, lésions cellulaires, mutations génétiques), en situation accidentelle mais également dans le fonctionnement quotidien de la filière ; comment les normes et les protocoles d’études cliniques sont établis ; et comment ces derniers pourraient être mis au service des pratiques d’opacité des politiques et des industriels, nous préparant ainsi, en toute « méconnaissance de cause », à vivre en territoires contaminés et à accepter les risques de la pollution nucléaire.
* B. Belbéoch, GSIEN (Groupement des Scientifiques pour l’Information sur l’Energie Nucléaire), lors du « Forum Nucléaire et Santé d’Equeurdreville » (La Hague) des 21 et 22 octobre 1978
Réseau Sortir du Nucléaire, Collectif Sortir du Nucléaire 13
Contact : 06 82 45 13 89
Affiche
Colloque à Marseille, 9h30-18h30
« Si un jour on connaît les effets réels des rejets, il sera trop tard car les déchets radioactifs seront dans l’environnement et pour longtemps »…
« Pour savoir si une dose donnée de rayonnement présente un danger : il n’y a qu’une méthode : étudier une population nombreuse qui a été irradiée avec cette dose, attendre la mort des gens et entreprendre une étude statistique qui dira si oui ou non cette population a subi un risque important. » *
Propos tenus par un scientifique huit ans avant la catastrophe de Tchernobyl : cynisme ou prémonition ?
Vingt-trois ans après Tchernobyl, dans un contexte affiché de relance du nucléaire, à l’heure où politiques et industriels s’efforcent de nous présenter cette industrie comme une « énergie propre », où la vie des plus vieilles centrales françaises risque d’être prolongée à 40 ans, nous estimons urgent que la communauté médicale et scientifique s’empare du sujet et se mobilise.
A Marseille le 31 octobre 2009, des experts français et étrangers montreront les effets du nucléaire sur la santé des populations et des travailleurs (irradiations, contaminations, faibles doses internes chroniques, lésions cellulaires, mutations génétiques), en situation accidentelle mais également dans le fonctionnement quotidien de la filière ; comment les normes et les protocoles d’études cliniques sont établis ; et comment ces derniers pourraient être mis au service des pratiques d’opacité des politiques et des industriels, nous préparant ainsi, en toute « méconnaissance de cause », à vivre en territoires contaminés et à accepter les risques de la pollution nucléaire.
* B. Belbéoch, GSIEN (Groupement des Scientifiques pour l’Information sur l’Energie Nucléaire), lors du « Forum Nucléaire et Santé d’Equeurdreville » (La Hague) des 21 et 22 octobre 1978
Réseau Sortir du Nucléaire, Collectif Sortir du Nucléaire 13
Depuis plus de 20 ans Le Réseau "Sortir du nucléaire" apporte son soutien aux groupes antinucléaires. Ils sont le fondement de notre association et du mouvement antinucléaire en France. Chaque année, le Réseau relaie massivement leurs actions et les soutient financièrement.
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