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Nos communiqués de presse

2 et 3 février 2008 : en assemblée générale à l’occasion de ses 10 ans, le Réseau "Sortir du nucléaire" organise la lutte contre l’atome

Communiqué du 30 janvier 2008



Samedi 2 et dimanche 3 février 2008, le Réseau "Sortir du nucléaire" tiendra son assemblée générale annuelle. Cette édition, qui aura lieu à Dijon (Côte d’or), marquera les dix ans du Réseau, créé fin 1997. Ce sont aujourd’hui 806 associations qui sont fédérées dans ce Réseau totalement indépendant car financé en quasi totalité par les dons des personnes adhérentes.

Après avoir organisé le 17 mars dernier des manifestations qui ont rassemblé plus de 60 000 personnes, une mobilisation digne de celles des années 70, le Réseau "Sortir du nucléaire" travaillera pendant deux jours à organiser la lutte contre le nucléaire en général et entre autre contre l’activisme pronucléaire de M. Sarkozy. Ce dernier va continuer à promouvoir l’atome lorsqu’il présidera l’Union européenne pour 6 mois à partir du 1er juillet prochain. Il est nécessaire de faire entendre la voix des citoyens attachés à la protection de l’environnement et de la démocratie.

L’assemblée générale du Réseau "Sortir du nucléaire" se tient cette année à Dijon (Côte d’Or), près du site nucléaire de Valduc où sont assemblées les armes nucléaires françaises. Ce sera l’occasion de rappeler que :

- la Région Bourgogne fait fausse route en soutenant le nucléaire avec son pôle de compétitivité.

- nucléaire civil et militaire sont intimement liés, ce dont ne semble pas tenir compte le Président de la République, lequel entend livrer du nucléaire à des personnages dangereux comme le dictateur libyen Kadhafi.

Il convient aussi de rappeler que, outre le fait qu’il permet d’accéder à l’arme atomique, le nucléaire dit "civil" est pour l’environnement une véritable calamité à laquelle il faut absolument mettre un coup d’arrêt.

C’est ainsi que le Réseau "Sortir du nucléaire" vient de publier des plans de sortie rapide du nucléaire, en 5 ou 10 ans : de même que l’Allemagne, la Belgique, la Suède, l’Espagne, etc, la France doit programmer la fermeture de ses centrales nucléaires, avant que l’irréparable ne se produise. La seule politique énergétique d’avenir doit être centrée sur la maîtrise de l’énergie et le développement des énergies renouvelables.



D’ailleurs, si elle veut atteindre l’objectif fixé par la Commission européenne de 23% d’énergies renouvelable en 2020, la France doit annuler la construction – à peine commencée – du réacteur nucléaire EPR de Flamanville (Manche), mais aussi les chantiers du réacteur ITER (Bouches-du-Rhône), de l’usine d’enrichissement de l’uranium Georges Besse 2 (Drôme), et du site d’enfouissement des déchets nucléaires de Bure (Meuse) : les sommes prévues pour ces chantiers gigantesques doivent être reversées vers les économies d’énergies et les énergies renouvelables.

Samedi 2 et dimanche 3 février 2008, le Réseau "Sortir du nucléaire" tiendra son assemblée générale annuelle. Cette édition, qui aura lieu à Dijon (Côte d’or), marquera les dix ans du Réseau, créé fin 1997. Ce sont aujourd’hui 806 associations qui sont fédérées dans ce Réseau totalement indépendant car financé en quasi totalité par les dons des personnes adhérentes.

Après avoir organisé le 17 mars dernier des manifestations qui ont rassemblé plus de 60 000 personnes, une mobilisation digne de celles des années 70, le Réseau "Sortir du nucléaire" travaillera pendant deux jours à organiser la lutte contre le nucléaire en général et entre autre contre l’activisme pronucléaire de M. Sarkozy. Ce dernier va continuer à promouvoir l’atome lorsqu’il présidera l’Union européenne pour 6 mois à partir du 1er juillet prochain. Il est nécessaire de faire entendre la voix des citoyens attachés à la protection de l’environnement et de la démocratie.

L’assemblée générale du Réseau "Sortir du nucléaire" se tient cette année à Dijon (Côte d’Or), près du site nucléaire de Valduc où sont assemblées les armes nucléaires françaises. Ce sera l’occasion de rappeler que :

- la Région Bourgogne fait fausse route en soutenant le nucléaire avec son pôle de compétitivité.

- nucléaire civil et militaire sont intimement liés, ce dont ne semble pas tenir compte le Président de la République, lequel entend livrer du nucléaire à des personnages dangereux comme le dictateur libyen Kadhafi.

Il convient aussi de rappeler que, outre le fait qu’il permet d’accéder à l’arme atomique, le nucléaire dit "civil" est pour l’environnement une véritable calamité à laquelle il faut absolument mettre un coup d’arrêt.

C’est ainsi que le Réseau "Sortir du nucléaire" vient de publier des plans de sortie rapide du nucléaire, en 5 ou 10 ans : de même que l’Allemagne, la Belgique, la Suède, l’Espagne, etc, la France doit programmer la fermeture de ses centrales nucléaires, avant que l’irréparable ne se produise. La seule politique énergétique d’avenir doit être centrée sur la maîtrise de l’énergie et le développement des énergies renouvelables.



D’ailleurs, si elle veut atteindre l’objectif fixé par la Commission européenne de 23% d’énergies renouvelable en 2020, la France doit annuler la construction – à peine commencée – du réacteur nucléaire EPR de Flamanville (Manche), mais aussi les chantiers du réacteur ITER (Bouches-du-Rhône), de l’usine d’enrichissement de l’uranium Georges Besse 2 (Drôme), et du site d’enfouissement des déchets nucléaires de Bure (Meuse) : les sommes prévues pour ces chantiers gigantesques doivent être reversées vers les économies d’énergies et les énergies renouvelables.


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marion.rivet@sortirdunucleaire.fr
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