Le groupe franco-belge vient de s’assurer une participation de 5 % dans l’usine Georges-Besse 2. Un investissement qui lui permet de sécuriser un quart de ses besoins en uranium enrichi pour les deux décennies à venir.
Entre EDF et Suez, la liste des griefs n’en finit plus de s’allonger. Après la « claque » Distrigaz, l’électricien tricolore vient de se voir infliger un nouveau camouflet par son grand rival. Le groupe franco-belge l’a en effet pris de vitesse en annonçant hier son entrée (...)