L’association TCHERNOBLAYE fête ses 10 ans ce week-end. Quel bilan tirez-vous de cette décennie de lutte ?
Stéphane Lhomme : L’opinion girondine sait maintenant qu’il existe un courant de pensée qui s’oppose au nucléaire. On a créé et maintenu la présence d’une alternative au nucléaire.
Quelle est la plus marquante de vos actions ?
Le jour où l’on a arrêté un train de déchets nucléaires en gare Saint-Jean, en septembre 2003. On a démontré que n’importe qui pouvait déjouer les (...)