L’année 2008 a été, en France, une annus horribilis pour l’image de la sûreté nucléaire. Les incidents à répétition sur le site du Tricastin (Drôme) - notamment le rejet, en juillet, d’effluents uranifères dans l’environnement par une filiale d’Areva - ont fourni de nouveaux arguments aux adversaires de l’atome civil pour réclamer l’arrêt des centrales.
Les associations antinucléaires ne désarment pas et elles viennent de trouver un nouvel angle d’attaque en relayant les critiques de (...)