Tokyo - Les anomalies d'acier relevées dans des réacteurs nucléaires français, qui sont en partie dues à un fournisseur japonais, laissent supposer que les contrôles de qualité ont failli en amont, estime l'organisation Greenpeace dans un rapport publié mardi.
Dix-huit réacteurs de la compagnie française EDF emploient un acier qui contient un taux de carbone supérieur à la limite réglementaire, ce qui laisse planer des incertitudes sur la capacité de ces installations à résister (...)
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