Enfoui sous 500 mètres de roches, le centre de tir stratégique de la frappe nucléaire du plateau d’Albion, démantelé en 1996, a été reconverti en un laboratoire quasi unique au monde pour étudier les phénomènes les plus silencieux.
DE NOTRE CORRESPONDANT À MARSEILLE, PAUL MOLGA
« C’est le laboratoire le plus silencieux de la planète ! » Devant l’écran d’un sismographe où s’affiche avec précision la houle marine de l’Atlantique pourtant distante de 600 kilomètres, Georges Waysand n’en (...)