En mettant en cause la sécurité du réacteur EPR, l’Autorité de sûreté a provoqué une réaction en chaîne, qui compromet l’image du nucléaire français à l’étranger.
Cette lettre ne pouvait tomber plus mal. Le 2 novembre, l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) adresse un courrier aux dirigeants d’EDF. Sur plusieurs pages, le gendarme français de l’atome demande à l’exploitant d’apporter des précisions sur la sûreté du réacteur de troisième génération EPR. L’ASN s’interroge sur le système de (...)