par Claude-Marie Vadrot
Nul besoin d’inventer le mot « désastre », il a été publiquement prononcé quelques jours après la conférence par le Premier ministre Suédois encore en charge de l’Union européenne pour quelques jours.
Nul besoin d’inventer le qualificatif « décevant », il provient d’un discours post-conférence du président brésilien Lula. Nul besoin enfin d’expliquer que l’ « Europe a signé à contre-coeur » le texte de deux pages et quelques lignes bâclé pendant la dernière nuit (...)