quotidien économique du Maroc -
· Un constat révélé par une étude menée par l’Aigam
· La filière n’est plus attractive par manque de débouchés
LES membres de l’Association des ingénieurs en génie atomique (AIGAM) sont très inquiets de l’avenir de leur métier qui risque de ne pas trouver de jeunes chercheurs pour assurer la relève. La cause : l’enseignement des techniques nucléaires est quasiment marginalisé dans la majorité des universités et écoles d’ingénieurs du pays.
Le constat (...)