Transformer un fiasco industriel en succès financier n’est jamais une sinécure. Mais là où l’Hexagone a échoué avec le Concorde, le Royaume-Uni pourrait bien réussir avec ses vieilles centrales nucléaires. Parce qu’ils ont toujours refusé aux Français le monopole des Lumières, les Anglais sont finalement parvenus à susciter l’intérêt d’autres électriciens européens qu’EDF, jusqu’ici le seul à s’être manifesté pour reprendre British Energy.
L’entrée de RWE et de Centrica, voire d’E.ON, (...)