Accusé d’aider la rébellion, le groupe perd son quasi-monopole.
Pour Areva, le groupe français de nucléaire civil, « plus rien ne sera comme avant » au Niger, son berceau historique, où il extrait près de la moitié de sa production annuelle d’uranium. C’est ce que proclament les plus hautes autorités de l’Etat à Niamey, qui entendent diversifier leurs partenaires étrangers pour valoriser leurs ressources minières. Durant près de quarante ans, le complexe militaro-industriel français a (...)