Depuis près de sept ans, l’affaire Peutevynck, du nom du salarié de la centrale nucléaire qui s’est donné la mort, en août 2004, défraie la chronique.
La bataille a été acharnée devant le tribunal des affaires de Sécurité sociale de Tours. Le TASS a finalement reconnu que la dépression dont souffrait Dominique Peutevynck et qui l’a conduit au suicide trouvait son origine principalement dans le travail.
Cette dépression a donc officiellement été admise comme maladie professionnelle. Mais, (...)