Greenpeace a fait de ce combustible sa bête noire ; et de ses modes de
transports l’un de ses chevaux de bataille, comme l’ont montré récemment
ses
actions "coup de poing" autour de l’usine Mélox de Marcoule.
C’est peu dire, dans ce contexte, que l’acheminement du plutonium américain
sur le sol français, et son retour aux Etats-Unis sous forme d’assemblages
Mox - un combustible, mélange de plutonium et d’uranium recyclé,
hautement
énergétique et (...)