Le premier ministre est décidé à imposer son candidat à la tête de l’entreprise publique, et considère que le remplacement de François Roussely est "acté". "Si je suis désavoué, je n’aurais plus qu’à partir", aurait-il fait savoir au chef de l’Etat, dont l’arbitrage final est en suspens.
Imposer le départ du président d’EDF, François Roussely, est devenu, pour le premier ministre, une question d’autorité, pour ne pas dire d’honneur. Alors que la désignation du futur dirigeant de (...)