Anne Lauvergeon, PDG du groupe nucléaire Areva , reconnaît les erreurs de sa filiale Socapri dans l’incident survenu au Tricastin (Drôme) il y a dix jours mais dénonce aussi l’emballement médiatique et administratif qui a suivi.
"L’incident est clos", affirme-t-elle dans un entretien à paraître dans le Journal du Dimanche, répétant que personne n’a été contaminé et que l’environnement n’est pas menacé. La patronne d’Areva, qui s’est rendue sur place vendredi, a appris à cette occasion (...)