L’étude menée par l’IRSN, à la suite de l’incident de Socatri en 2008, conclut que, alors que les valeurs plus élevées en uranium observées dans la nappe alluviale sur la commune de Bollène sont vraisemblablement liées à l’activité passée du site nucléaire, celles observées sur la commune de Lapalud seraient d’origine naturelle.
Suite au déversement accidentel dans l’environnement d’une solution contenant de l’uranium, survenu dans la nuit du 7 au 8 juillet 2008 dans l’usine SOCATRI (...)