Invité(e) de la rédaction
Eva Joly
09 avril 2010
On le sait depuis quelque temps déjà, Nicolas Sarkozy ne correspond pas tout à fait à la définition du mot : visionnaire. On avait également très vite saisi que l’idéalisme qu’il affichait en matière de politique étrangère au tout début de son mandat allait laisser la place dans les faits non pas même à un certain réalisme, mais à une realpolitik sans ambition et à la perpétuation des pires pratiques. L’actualité de ces derniers jours (...)