Entre le peuple et les élites, rien ne va plus. Résultat : la France est figée. Une théorie, certes, très répandue mais argumentée ici par un vulgarisateur de talent. Extraits (p. 105 à 109).
« En France, le combat contre le nucléaire fut perdu parce qu’il se heurtait à la technocratie. Le lobby était solidement retranché dans ses forteresses, soumis à une protection de type militaire, et pouvait compter sur le soutien indéfectible des pouvoirs publics. Les manifestants avaient beau se (...)