Après s’être assurés que le convoi de déchets radioactifs pourrait s’arrêter, cinq militants s’étaient enchaînés aux rails, à Caen le 5 novembre, pour protester contre le passage de ce “Train de l’enfer”.
La main gauche bandée, il a tenté de chasser le démon, en l’aspergeant d’eau bénite. “Une aberration de faire transiter 123 tonnes de déchets hautement radioactifs par la France et l’Allemagne, pour un lieu qui n’offre pas plus de garanties !”
Las, Damien, un Chambérien de 22 ans qui (...)