En pointe dans les années 70, la France a sacrifié sa recherche sur l’autel de l’atome. Et tente aujourd’hui de combler son retard pour atteindre les 23% d’énergie non fossile en 2020.
Il s’appelait Comes. Pour Commissariat à l’énergie solaire. Et son existence quasi furtive raconte le côté je t’aime-moi-non-plus de la France et des énergies renouvelables ces trente dernières années. On est à la fin des années 70. Le monde vient de subir le premier choc pétrolier et s’apprête à en vivre (...)