PARIS (Reuters) - Les discussions autour de l’augmentation de capital du groupe nucléaire Areva se sont compliquées et l’opération semble de plus en plus difficile à boucler dans les temps, écrit Le Figaro vendredi.
Détenu à près de 90% par l’Etat français, Areva doit procéder à une augmentation de capital estimée à quelque trois milliards d’euros auprès d’actionnaires internationaux. Des fonds souverains du Qatar et du Koweït, ainsi que le groupe japonais Mitsubishi Heavy Industries, (...)