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Nos communiqués de presse

Le journaliste Moussa Kaka est en prison au Niger depuis un an pour crime de "lèse-AREVA"

Communiqué du 17 septembre 2008



Le Réseau "Sortir du nucléaire" accuse les autorités françaises de ne pas agir en faveur de Mousssa Kaka afin de protéger les intérêts d’Areva au Niger.


Samedi 20 septembre 2008, cela fera exactement un an que le journaliste Moussa Kaka, correspondant de Radio France Internationale (RFI), sera emprisonné au Niger.

Son "crime" ? Avoir exercé son métier en prenant contact avec le Mouvement des Nigériens pour la Justice (MNJ). Il se trouve que le MNJ remet en cause les pratiques du pouvoir nigérien et de la multinationale française Areva concernant l’exploitation des mines d’uranium du Niger.

Moussa Kaka a attiré l’attention sur un dossier explosif : pour "nourrir" les centrales nucléaires françaises et étrangères, qui fonctionnent avec de l’uranium comme combustible principal, AREVA s’attribue à un tarif dérisoire l’uranium du Niger depuis plus de 40 ans, avec la collaboration du pouvoir local et le soutien de l’Etat français.

Qui plus est, l’exploitation des mines d’uranium par AREVA se traduit par la contamination de régions entières, l’assèchement des nappes phréatiques, et l’expulsion de fait de populations autochtones.

Le Réseau "Sortir du nucléaire" dénonce la politique post-coloniale de la France au Niger : c’est pour protéger les intérêts d’Areva et de l’industrie nucléaire dans son ensemble que Paris soutient le pouvoir autocratique en place au Niger.

Il ne faut pas chercher plus loin les raisons du silence assourdissant des autorités françaises concernant Moussa Kaka qui n’a, de fait, pas droit aux mêmes démarches que celles menées en faveur des infirmières bulgares ou d’Ingrid Betancourt.

Le Réseau "Sortir du nucléaire" rappelle que l’industrie nucléaire - et en l’occurrence l’exploitation des mines d’uranium - nuit autant à la démocratie qu’à l’environnement, et que le nucléaire est imposé au détriment des énergies propres et renouvelables.

Le Réseau "Sortir du nucléaire" accuse les autorités françaises de ne pas agir en faveur de Mousssa Kaka afin de protéger les intérêts d’Areva au Niger.


Samedi 20 septembre 2008, cela fera exactement un an que le journaliste Moussa Kaka, correspondant de Radio France Internationale (RFI), sera emprisonné au Niger.

Son "crime" ? Avoir exercé son métier en prenant contact avec le Mouvement des Nigériens pour la Justice (MNJ). Il se trouve que le MNJ remet en cause les pratiques du pouvoir nigérien et de la multinationale française Areva concernant l’exploitation des mines d’uranium du Niger.

Moussa Kaka a attiré l’attention sur un dossier explosif : pour "nourrir" les centrales nucléaires françaises et étrangères, qui fonctionnent avec de l’uranium comme combustible principal, AREVA s’attribue à un tarif dérisoire l’uranium du Niger depuis plus de 40 ans, avec la collaboration du pouvoir local et le soutien de l’Etat français.

Qui plus est, l’exploitation des mines d’uranium par AREVA se traduit par la contamination de régions entières, l’assèchement des nappes phréatiques, et l’expulsion de fait de populations autochtones.

Le Réseau "Sortir du nucléaire" dénonce la politique post-coloniale de la France au Niger : c’est pour protéger les intérêts d’Areva et de l’industrie nucléaire dans son ensemble que Paris soutient le pouvoir autocratique en place au Niger.

Il ne faut pas chercher plus loin les raisons du silence assourdissant des autorités françaises concernant Moussa Kaka qui n’a, de fait, pas droit aux mêmes démarches que celles menées en faveur des infirmières bulgares ou d’Ingrid Betancourt.

Le Réseau "Sortir du nucléaire" rappelle que l’industrie nucléaire - et en l’occurrence l’exploitation des mines d’uranium - nuit autant à la démocratie qu’à l’environnement, et que le nucléaire est imposé au détriment des énergies propres et renouvelables.


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marion.rivet@sortirdunucleaire.fr
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 Uranium et mines