En France, l’électricité nucléaire correspond à environ 40 % de la consommation d’énergie primaire, alors que l’électricité dans son ensemble représente 23 % de la consommation d’énergie finale. L’explication de cet apparent paradoxe repose sur deux éléments méthodologiques :
* par définition, afin d’éviter les "doubles comptes", la consommation d’énergie primaire ne comprend pas l’électricité obtenue par transformation d’une autre énergie comptabilisée, comme le gaz ou le pétrole. (...)