APRÈS plusieurs tentatives, les constructeurs automobiles avaient jeté l’éponge sur le véhicule électrique. Mais l’envolée du prix du baril à 140 dollars en 2008 et le durcissement des normes environnementales en Europe - dès 2012, les émissions de CO2 ne devront pas dépasser les 120 grammes par kilomètre (g/km) et 95 g/km dès 2020 - les ont poussés à se remettre au travail.
Si l’un des obstacles majeurs semble levé - celui de l’autonomie des batteries (de 150 à 200 kilomètres) grâce à (...)