"Le constat s’impose, l’ouverture du marché de l’électricité fonctionne très mal en France : près de 95% des consommateurs résidentiels sont restés chez le fournisseur historique (92% pour les professionnels) [1] ; la plupart des nouveaux fournisseurs peinent à assurer leur pérennité dans les conditions actuelles de marché ; la France est sous le coup de procédures engagées par la Commission européenne.
C’est dans ce contexte que la loi NOME (Nouvelle Organisation du Marché de (...)