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Après Fukushima : le réveil de la société ?

14 août 2012 | 211 vues




Documentaire France culture diffusé le 14 août 2012
Les Grandes traversées / Pourquoi Fukushima ?
https://www.franceculture.fr/emission-les-grandes-traversees-pourquoi-fukushima-doc



Dès le 12 mars 2011, il s’est dressé seul devant le siège social de Tepco (l’opérateur de la centrale de Fukushima). Il a été rejoint depuis par des centaines et des milliers de personnes. Son nom : Ryota Sono. Un activiste d’une trentaine d’années qui cache la forêt d’une jeunesse résignée ou trop avide de biens de consommation pour rêver d’un autre Japon. Agé de 20 ans de plus, le musicien Rankin Taxi a remixé en 2011 un reggae de 1996 écrit au moment de Tchernobyl . Un air devenu un slogan contre la radioactivité . Paroles : « Personne ne peut la voir, personne ne peut la sentir ». Hirochi Kainuma, lui se sent concerné. Ce natif de Fukushima, fait ses études de sociologie à Tokyo sur l’installation du nucléaire au Japon dans l’après guerre et le « bonheur » apporté alors aux populations aujourd’hui déplacées. Quant à Ayako Ichikawa, elle ne se déplace plus dans la capitale sans son dosimètre. Cette mère de famille de 3 enfants préside l’association « No radiations ».

Avec Ryota Sono, activiste, le musicien Rankin Taxi, Ayako Ichikawa, responsable de l’association « No radiations », Hirochi Kainuma, sociologue, spécialiste du nucléaire et Shuntaro Ida, survivant et médecin à Hiroshima.

Dès le 12 mars 2011, il s’est dressé seul devant le siège social de Tepco (l’opérateur de la centrale de Fukushima). Il a été rejoint depuis par des centaines et des milliers de personnes. Son nom : Ryota Sono. Un activiste d’une trentaine d’années qui cache la forêt d’une jeunesse résignée ou trop avide de biens de consommation pour rêver d’un autre Japon. Agé de 20 ans de plus, le musicien Rankin Taxi a remixé en 2011 un reggae de 1996 écrit au moment de Tchernobyl . Un air devenu un slogan contre la radioactivité . Paroles : « Personne ne peut la voir, personne ne peut la sentir ». Hirochi Kainuma, lui se sent concerné. Ce natif de Fukushima, fait ses études de sociologie à Tokyo sur l’installation du nucléaire au Japon dans l’après guerre et le « bonheur » apporté alors aux populations aujourd’hui déplacées. Quant à Ayako Ichikawa, elle ne se déplace plus dans la capitale sans son dosimètre. Cette mère de famille de 3 enfants préside l’association « No radiations ».

Avec Ryota Sono, activiste, le musicien Rankin Taxi, Ayako Ichikawa, responsable de l’association « No radiations », Hirochi Kainuma, sociologue, spécialiste du nucléaire et Shuntaro Ida, survivant et médecin à Hiroshima.

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 Fukushima