A vélo, en bus, en train ou en avion… A chacun son moyen de transport pour se rendre dans la capitale danoise. Et à chacun son émission de CO2.
Le 9 novembre au matin, Mathieu Monceaux enfourchait son vélo sur la place du Capitole à Toulouse. Destination : Copenhague, à près de 2500 km de là. Pour ce jeune militant du réseau Sortir du nucléaire, l’objectif est simple : démontrer « qu’on peut se déplacer très loin autrement qu’en voiture ».
D’autres initiatives originales ont été mises (...)