Olivier Daniélo
C’est une critique qui revient de manière pavlovienne : les réseaux électriques seraient incapables d’intégrer de hauts niveaux d’électricité solaire et éolienne du fait de sa nature fluctuante. Est-elle fondée ?
Le facteur de charge du parc électro-nucléaire français a été de 75,2 % durant l’année 2015. Une production annuelle de 416,8 TWh pour une puissance de 63,13 GW, selon RTE (2015). Celui de l’éolien s’est élevé à 24,3% (2129 heures équivalent pleine (...)