Bonjour,

Les vacances approchent pour beaucoup d’entre nous. C’est l’occasion de participer activement aux manifestations de cet été (voir notre agenda : http://www.sortirdunucleaire.org/Les-mobilisations-de-l-ete-2014,33514) et d’arborer fièrement les couleurs de la lutte antinucléaire.

Pour ceux et celles qui préfèrent le farniente, n’oubliez pas d’emporter dans vos bagages des romans pour toute la famille ainsi que la nouvelle brochure du Réseau Action Climat pour en finir avec les idées reçues sur les énergies renouvelables.

Et rappelez-vous, nous pouvons tou-te-s agir, à notre façon, à tout moment et en tout lieu !

Delphine Boutonnet - Responsable de la boutique

Un visuel clair et esthétique pour dire "STOP !" au nucléaire et faire passer un message simple dans notre entourage.

Ce logo, créé en 1975 par la fondation OOA, est l’emblème international et historique de la lutte antinucléaire.

"Les énergies renouvelables coûtent cher", "Elles demandent plus d’énergie à fabriquer qu’elles n’en restituent", "Elles détruisent des emplois" ... Cette brochure permet d’apporter un démenti à ces affirmations erronées et largement répandues sur les énergies renouvelables.

1er prix du roman social décerné à "Un homme jetable" par l’Afpa, sur les salariés du nucléaire. Jules a vingt ans, le diable au corps et une envie pressante de quitter le nid où sa mère change d’homme comme de robe. Il veut trouver un boulot, n’importe quoi. Jules est en quête d’adrénaline, et c’est en se faisant embaucher en intérim dans les centrales nucléaires qu’il va en trouver. Un roman qui prend aux tripes et qu’on lit en quelques heures sans pouvoir s’arrêter.

Natalia est une fillette de 11 ans dont la mère vivait à Pripiat lors de la catastrophe de Tchernobyl. Sa mère, alors âgée d’une dizaine d’année, tenait un journal intime confié à sa fille avant sa mort. Natalia décide de mettre en ligne sur son blog les pages de ce journal, ce qui ne plaît apparemment pas à tout le monde...

Fanny est la meilleure ami de Natalia. A la suite de la catastrophe de Fukushima, Fanny doit accueillir dans sa famille Ima, une cousine japonnaise qu’elle ne connaît pas. Natalia, dont la maman a vécu à Pripiat, voit ses vieux fantômes ressurgir. Des liens forts se créent entre elle et Ima.