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Nos communiqués de presse

ITER : rien n’est fait ! L’accord international doit encore être ratifié par chaque pays.

Communiqué du 26 mai 2006



La participation des USA très incertaine.
Il est toujours temps d’annuler la participation française.
Mais, avec quelle procédure démocratique ?


Le Réseau "Sortir du nucléaire" rappelle que, contrairement à ce que les autorités françaises laissent croire à l’opinion publique, la construction du réacteur nucléaire ITER est loin d’être décidée.

En effet, l’accord international, signé jeudi 25 mai 2006, doit encore être ratifié par les différents pays engagés… ce qui est loin d’être fait ! Notons en particulier le cas des USA :
- David Goldston, Président de la Commission scientifique du Congrès, a déclaré à la revue New Scientist en mai 2005 : "La participation des Etats-Unis dans le projet ITER est peu vraisemblable."

- Sherwood Boehlert, Président de la Commission scientifique du Sénat a affirmé devant le Congrès : "Je ferai tout mon possible pour empêcher les Etats-Unis de s’engager dans ITER si personne n’a envie de faire les sacrifices pour investir dans ce projet." (cf : https://reacteur.iter.free.fr/us-go-home.htm )
Rappel : en cas de défection, c’est le pays d’accueil qui finance la (les) part(s) manquante(s) ! Jusqu’où iront les autorités françaises pour obtenir la construction de ce réacteur… inutile et dangereux ?

Cependant, la France doit elle aussi ratifier l’accord international. Il est donc encore temps d’annuler la participation française à ce projet aberrant, remis en cause par de nombreux physiciens nucléaires (pourtant favorables à l’atome de façon générale !) comme les deux Prix Nobel de physique Pierre Gilles de Gennes (France, 1991) et Matatoshi Koshiba (Japon, 2002).

Hélas, le "Débat public" sur ITER a fait l’objet d’une honteuse manipulation de la part des autorités et de la Commission du "débat" public : il a été raconté aux citoyens que la décision finale était prise et qu’il ne restait donc à débattre que des aménagements (largeurs des routes, etc.)

Le débat sur le fond n’a donc pas eu lieu. Il mérite d’être tenu : la France doit-elle participer au projet ITER ? Les français ont donné leur réponse : le sondage (Eurobaromètre) de la Commission européenne du 25 janvier 2006 montre que, face à la crise énergétique, seuls 8% des français proposent d’investir encore dans le nucléaire…

La participation des USA très incertaine.
Il est toujours temps d’annuler la participation française.
Mais, avec quelle procédure démocratique ?


Le Réseau "Sortir du nucléaire" rappelle que, contrairement à ce que les autorités françaises laissent croire à l’opinion publique, la construction du réacteur nucléaire ITER est loin d’être décidée.

En effet, l’accord international, signé jeudi 25 mai 2006, doit encore être ratifié par les différents pays engagés… ce qui est loin d’être fait ! Notons en particulier le cas des USA :
- David Goldston, Président de la Commission scientifique du Congrès, a déclaré à la revue New Scientist en mai 2005 : "La participation des Etats-Unis dans le projet ITER est peu vraisemblable."

- Sherwood Boehlert, Président de la Commission scientifique du Sénat a affirmé devant le Congrès : "Je ferai tout mon possible pour empêcher les Etats-Unis de s’engager dans ITER si personne n’a envie de faire les sacrifices pour investir dans ce projet." (cf : https://reacteur.iter.free.fr/us-go-home.htm )
Rappel : en cas de défection, c’est le pays d’accueil qui finance la (les) part(s) manquante(s) ! Jusqu’où iront les autorités françaises pour obtenir la construction de ce réacteur… inutile et dangereux ?

Cependant, la France doit elle aussi ratifier l’accord international. Il est donc encore temps d’annuler la participation française à ce projet aberrant, remis en cause par de nombreux physiciens nucléaires (pourtant favorables à l’atome de façon générale !) comme les deux Prix Nobel de physique Pierre Gilles de Gennes (France, 1991) et Matatoshi Koshiba (Japon, 2002).

Hélas, le "Débat public" sur ITER a fait l’objet d’une honteuse manipulation de la part des autorités et de la Commission du "débat" public : il a été raconté aux citoyens que la décision finale était prise et qu’il ne restait donc à débattre que des aménagements (largeurs des routes, etc.)

Le débat sur le fond n’a donc pas eu lieu. Il mérite d’être tenu : la France doit-elle participer au projet ITER ? Les français ont donné leur réponse : le sondage (Eurobaromètre) de la Commission européenne du 25 janvier 2006 montre que, face à la crise énergétique, seuls 8% des français proposent d’investir encore dans le nucléaire…


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