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Sortir du nucléaire n°30



Mars 2006

Tchernobyl

Vingt ans que l’avenir des enfants du Bélarus est compromis et cela ne fait que commencer

Article paru dans la revue Sortir du nucléaire n°30 - Mars 2006

 Tchernobyl
Article publié le : 1er mars 2006


Le 26 avril 1986, à 1h24 ; le réacteur n°4 de la centrale nucléaire Lénine de Tchernobyl explose. L’explosion est 90 fois supérieure à la bombe d’Hiroshima et libère 7 000 fois plus de particules radioactives dans l’atmosphère que la bombe atomique lancée sur le Japon en 1945.



Pour près de 20 millions de personnes qui vivent dans la région (Ukraine, Bélarus, Russie), le danger est là pour le présent et l’avenir, impalpable, invisible, inodore.
Kofi Annan (secrétaire de l’ONU) a avancé le chiffre de 9 millions de victimes que fera la catastrophe de Tchernobyl à moyen et long terme.

Or selon les derniers chiffres donnés en septembre 2005 officiellement par l’AEIA (Agence Internationale pour l’Energie Atomique), il y a eu 56 morts et 4 000 cancers de la thyroïde chez les enfants qui auraient pu être évités ; le rapport 2000 de l’UNSCEAR (Comité Scientifique des Nations Unies pour les Effets des Rayonnements Atomiques) ne reconnaissait comme seule conséquence de Tchernobyl que 1800 cancers de la thyroïde chez l’enfant et l’adolescent.

Cependant le Bélarus, qui est devenu une république indépendante en 1991, a été fortement touché (25 % de son territoire) par les retombées radioactives de Tchernobyl.

Face à l’ampleur de la catastrophe, en avril 2001, à la demande du Pr Vassili Nesterenko, directeur de l’Institut indépendant de Radioprotection de Belrad, Solange Fernex, Michel Fernex, son mari qui est médecin, et quelques amis créent l’association “Enfants de Tchernobyl Bélarus”, ONG1 française pour :

- venir en aide aux 500 000 enfants malades vivant dans les régions méridionales et orientales du Bélarus hautement contaminées suite à la contamination interne due aux radionucléides, notamment le Césium 137. Le Césium 137 est un radionucléide qui n’existe pas à l’état naturel. Sa demi durée est de 30 ans et il ne s’élimine qu’au bout de 3 siècles.

- soutenir les personnes (scientifiques, médecins, techniciens) qui travaillent dans les régions contaminées pour aider les enfants victimes de Tchernobyl, et qui prennent souvent des risques pour mener jusqu’au bout leurs recherches.

Car si nous souhaitons connaître un jour le véritable impact de la catastrophe de Tchernobyl, nous devons disposer de sources d’informations fiables, en particulier dans les pays les plus touchés : l’Ukraine, la Russie et le Bélarus.
Il est très important que ces recherches puissent être conduites par des scientifiques indépendants du lobby nucléaire, capables de résister aux pressions de leur pays.

De la pectine de pomme pour limiter l’ingestion du Césium 137

Au Bélarus, des cures d’un adsorbant naturel du Césium 137 (Cs 137), la pectine de pomme enrichie en oligo-éléments et en vitamines, sont mises en œuvre par l’Institut de Radioprotection de Belrad.
Lorsque les enfants bénéficient de quatre cures de pectine par an, leur taux de Césium dans le corps peut être divisé par deux, voire par trois.

Cela permet d’éviter que le Cs 137 ne se concentre notamment dans le muscle cardiaque, les reins et la thyroïde, où il induit des lésions parfois irréversibles et des pathologies graves, comme le montrent les travaux du professeur Youri Bandajevsky, médecin anatomopathologiste, ancien recteur de L’Institut de Gomel (Bélarus).

Cet illustre scientifique, condamné en 2001 injustement par un tribunal militaire pour avoir dit la vérité sur les véritables conséquences de l’impact de Tchernobyl sur la santé des personnes et surtout des enfants, est devenu le symbole des recherches indépendantes. Tout au long de son incarcération, l’association “Enfants de Tchernobyl Bélarus” l’a soutenu.
Libéré le 6 janvier 2005, mais ne pouvant pas exercer à un poste de responsabilité pendant 5 ans dans son pays, la CRIIRAD2 (Commission de Recherche et d’Information Indépendantes sur la RADioactivité) avec le soutien d’un certain nombre d’ONG, a créé le laboratoire Criirad et Bandajevsky à Minsk (Bélarus) pour que Youri Bandajevsky puisse poursuivre ses recherches sur l’impact des faibles doses des radionucléides sur la santé et les publier.

Appel à la Solidarité en faveur des enfants des "Villages exclus" du Bélarus, victimes de la catastrophe de Tchernobyl

Les habitants du Bélarus sont contraints de vivre dans un environnement radioactif et parce que leur alimentation est contaminée, les radioéléments s’accumulent, jour après jour, dans l’organisme des enfants du Bélarus.
L’irradiation permanente, interne, de leurs cellules, provoque d’innombrables lésions, qui sont à l’origine de pathologies très graves, liées notamment à l’atteinte des défenses immunitaires et des organes vitaux.
Les travaux du Professeur Bandajevsky montrent qu’au-delà de 70 becquerels (unité de mesure de la radioactivité) de Cesium 137 par kilogramme de poids, il n’y a plus que 10 à 15 % des enfants qui présentent des électrocardiogrammes normaux. Or, certains enfants ont des taux de contamination supérieurs à 600 Bq/Kg !

Depuis 2002, l’Etat bélarus et les instances internationales et européennes se désengagent de l’aide qui était attribuée aux populations car seules les localités reconnues contaminées par les autorités bénéficient d’aides de l’Etat (distribution de repas gratuits non contaminés aux enfants dans les écoles, cures en sanatorium, visite médicale approfondie annuelle, etc.).

Comment aider les enfants malades ?
En finançant des cures de pectine de pomme pour limiter l’ingestion du Césium 137 dans leur organisme.


Il est possible d’aider les enfants malades en finançant des cures de pectine de pomme qui leur permettent de limiter l’ingestion du Césium 137, radionucléide présent dans leur nourriture quotidienne.
Ces cures sont accompagnées de mesures sur la radioactivité des corps des enfants à l’aide d’un spectromètre gamma utilisé par les équipes de l’Institut de Radioprotection de Belrad dirigé par le professeur Vassili Nesterenko, vice-président de l’association.

Vous pouvez donc aider concrètement et simplement en achetant des bons pectine ( à 5 € ou 30 €) ou devenir membre bienfaiteur (carte à 120 €) en parrainant un enfant pour quatre cures de pectine pour une année (voir adresse ci-jointe).

L’association encourage aussi le parrainage par des communes ou des écoles françaises des communes ou des écoles sinistrées du Bélarus.

Merci de votre soutien.
Un geste, un don même le plus petit est accueilli avec simplicité et reconnaissance.
Petites phrases

- Hans Blix, Directeur général de l’AIEA (avant Mohamed ElBarradei), a déclaré à Genève à l’ouverture de la conférence ENC’86 (European Nuclear Conference, congrès quadriennal des industries nucléaires européennes) que "Tchernobyl n’avait pas causé plus de morts que le match de football du Heysel, il y a un an".
Les violences au cours de ce match à Heysel (Hollande) entre supporters locaux et ceux de Liverpool ont causé 39 morts...

- Le Monde, 28 août 1986, M. Rosen, directeur de la sûreté nucléaire de l’AIEA,
a déclaré à la conférence de Vienne en août 1986 “Même s’il y avait un accident de ce type tous les ans, je considérerais le nucléaire comme une énergie intéressante”.

- Moscou, 16 janvier 1987 (AFP) “(...) La zone située entre 10 et 30 km autour de la centrale pourra commencer à être repeuplée de ses habitants cette année”,
a indiqué dans une conférence de presse M. Hans Blix, directeur général de l’AIEA, qui vient de passer une semaine en Ukraine avec deux de ses adjoints, MM. Morris Rosen et Léonard Konstantinov.

A lire ou à voir pour aller plus loin

La supplication, Tchernobyl chronique du monde après l’apocalypse (*) de Svetlana Alexievitch
Livre de poche 8 €, port compris

Solange Fernex, l’Insoumise - Ecologie, féminisme, non-violence (*), d’Elisabeth Schulthess. Ed.Yves Michel. 2004.
Les droits d’auteur de ce livre sont intégralement reversés à l’association Enfants de Tchernobyl Bélarus.
Livre 16 €, port compris

DVD Le Sacrifice (*) Feldat Film - Suisse 2003
- Prix du meilleur documentaire du festival de l’Environnement de la région Ile de France en 2004.
- Prix du meilleur documentaire du festival du film Scientifique d’Oullins en 2004.
DVD 23 €, port compris.

(*) A commander au Réseau "Sortir du nucléaire"
9, rue Dumenge 69317 Lyon Cedex 04.
Chèque à l’ordre de "Sortir du nucléaire".

Le Crime de Tchernobyl. Le goulag nucléaire.
Actes Sud - Wladimir Tchertkoff
Ce livre est un réquisitoire. Il réunit en 720 pages les témoignages et les documents recueillis en 15 ans d’enquêtes, suffisants pour accuser les plus hautes instances politiques et institutionnelles internationales d’un crime prémédité à Tchernobyl : crime contre l’humanité et crime contre la vérité scientifique. Les droits d’auteur sont reversés à l’Institut Belrad au Bélarus (action de radioprotection des enfants contaminés et information scientifique libre).
Wladimir Tchertkoff, d’origine russe et de nationalité italienne, longtemps journaliste pour la Rai puis la Télévision de la Suisse italienne de Lugano, a réalisé plus de soixante-dix documentaires dont cinq consacrés aux territoires contaminés par Tchernobyl. Il est également secrétaire de l’association Les Enfants de Tchernobyl-Belarus.

Mobilisation pour Tchernobyl
Près de 50 initiatives sont organisées en France et en Europe pour les 20 ans de Tchernobyl

Liste sur www.sortirdunucleaire.fr
Solange Fernex et Véronique Ratel
Association “ENFANTS DE TCHERNOBYL BELARUS”

Contact :
Association "ENFANTS DE TCHERNOBYL BELARUS"
20 rue Principale
68 480 BIEDERTHAL
e-mail : s.m.fernex@wanadoo.fr
Compte bancaire : 0029876060 Crédit Mutuel 68 220 –Leymen- France
site internet : https://enfantsdetchernobylbelarus.doubleclic.asso.fr

1 - ONG : Organisation Non Gouvernementale
2 - Criirad : 471 Avenue Victor Hugo 26 000 Valence
Site internet : www.criirad.org

Pour près de 20 millions de personnes qui vivent dans la région (Ukraine, Bélarus, Russie), le danger est là pour le présent et l’avenir, impalpable, invisible, inodore.
Kofi Annan (secrétaire de l’ONU) a avancé le chiffre de 9 millions de victimes que fera la catastrophe de Tchernobyl à moyen et long terme.

Or selon les derniers chiffres donnés en septembre 2005 officiellement par l’AEIA (Agence Internationale pour l’Energie Atomique), il y a eu 56 morts et 4 000 cancers de la thyroïde chez les enfants qui auraient pu être évités ; le rapport 2000 de l’UNSCEAR (Comité Scientifique des Nations Unies pour les Effets des Rayonnements Atomiques) ne reconnaissait comme seule conséquence de Tchernobyl que 1800 cancers de la thyroïde chez l’enfant et l’adolescent.

Cependant le Bélarus, qui est devenu une république indépendante en 1991, a été fortement touché (25 % de son territoire) par les retombées radioactives de Tchernobyl.

Face à l’ampleur de la catastrophe, en avril 2001, à la demande du Pr Vassili Nesterenko, directeur de l’Institut indépendant de Radioprotection de Belrad, Solange Fernex, Michel Fernex, son mari qui est médecin, et quelques amis créent l’association “Enfants de Tchernobyl Bélarus”, ONG1 française pour :

- venir en aide aux 500 000 enfants malades vivant dans les régions méridionales et orientales du Bélarus hautement contaminées suite à la contamination interne due aux radionucléides, notamment le Césium 137. Le Césium 137 est un radionucléide qui n’existe pas à l’état naturel. Sa demi durée est de 30 ans et il ne s’élimine qu’au bout de 3 siècles.

- soutenir les personnes (scientifiques, médecins, techniciens) qui travaillent dans les régions contaminées pour aider les enfants victimes de Tchernobyl, et qui prennent souvent des risques pour mener jusqu’au bout leurs recherches.

Car si nous souhaitons connaître un jour le véritable impact de la catastrophe de Tchernobyl, nous devons disposer de sources d’informations fiables, en particulier dans les pays les plus touchés : l’Ukraine, la Russie et le Bélarus.
Il est très important que ces recherches puissent être conduites par des scientifiques indépendants du lobby nucléaire, capables de résister aux pressions de leur pays.

De la pectine de pomme pour limiter l’ingestion du Césium 137

Au Bélarus, des cures d’un adsorbant naturel du Césium 137 (Cs 137), la pectine de pomme enrichie en oligo-éléments et en vitamines, sont mises en œuvre par l’Institut de Radioprotection de Belrad.
Lorsque les enfants bénéficient de quatre cures de pectine par an, leur taux de Césium dans le corps peut être divisé par deux, voire par trois.

Cela permet d’éviter que le Cs 137 ne se concentre notamment dans le muscle cardiaque, les reins et la thyroïde, où il induit des lésions parfois irréversibles et des pathologies graves, comme le montrent les travaux du professeur Youri Bandajevsky, médecin anatomopathologiste, ancien recteur de L’Institut de Gomel (Bélarus).

Cet illustre scientifique, condamné en 2001 injustement par un tribunal militaire pour avoir dit la vérité sur les véritables conséquences de l’impact de Tchernobyl sur la santé des personnes et surtout des enfants, est devenu le symbole des recherches indépendantes. Tout au long de son incarcération, l’association “Enfants de Tchernobyl Bélarus” l’a soutenu.
Libéré le 6 janvier 2005, mais ne pouvant pas exercer à un poste de responsabilité pendant 5 ans dans son pays, la CRIIRAD2 (Commission de Recherche et d’Information Indépendantes sur la RADioactivité) avec le soutien d’un certain nombre d’ONG, a créé le laboratoire Criirad et Bandajevsky à Minsk (Bélarus) pour que Youri Bandajevsky puisse poursuivre ses recherches sur l’impact des faibles doses des radionucléides sur la santé et les publier.

Appel à la Solidarité en faveur des enfants des "Villages exclus" du Bélarus, victimes de la catastrophe de Tchernobyl

Les habitants du Bélarus sont contraints de vivre dans un environnement radioactif et parce que leur alimentation est contaminée, les radioéléments s’accumulent, jour après jour, dans l’organisme des enfants du Bélarus.
L’irradiation permanente, interne, de leurs cellules, provoque d’innombrables lésions, qui sont à l’origine de pathologies très graves, liées notamment à l’atteinte des défenses immunitaires et des organes vitaux.
Les travaux du Professeur Bandajevsky montrent qu’au-delà de 70 becquerels (unité de mesure de la radioactivité) de Cesium 137 par kilogramme de poids, il n’y a plus que 10 à 15 % des enfants qui présentent des électrocardiogrammes normaux. Or, certains enfants ont des taux de contamination supérieurs à 600 Bq/Kg !

Depuis 2002, l’Etat bélarus et les instances internationales et européennes se désengagent de l’aide qui était attribuée aux populations car seules les localités reconnues contaminées par les autorités bénéficient d’aides de l’Etat (distribution de repas gratuits non contaminés aux enfants dans les écoles, cures en sanatorium, visite médicale approfondie annuelle, etc.).

Comment aider les enfants malades ?
En finançant des cures de pectine de pomme pour limiter l’ingestion du Césium 137 dans leur organisme.


Il est possible d’aider les enfants malades en finançant des cures de pectine de pomme qui leur permettent de limiter l’ingestion du Césium 137, radionucléide présent dans leur nourriture quotidienne.
Ces cures sont accompagnées de mesures sur la radioactivité des corps des enfants à l’aide d’un spectromètre gamma utilisé par les équipes de l’Institut de Radioprotection de Belrad dirigé par le professeur Vassili Nesterenko, vice-président de l’association.

Vous pouvez donc aider concrètement et simplement en achetant des bons pectine ( à 5 € ou 30 €) ou devenir membre bienfaiteur (carte à 120 €) en parrainant un enfant pour quatre cures de pectine pour une année (voir adresse ci-jointe).

L’association encourage aussi le parrainage par des communes ou des écoles françaises des communes ou des écoles sinistrées du Bélarus.

Merci de votre soutien.
Un geste, un don même le plus petit est accueilli avec simplicité et reconnaissance.
Petites phrases

- Hans Blix, Directeur général de l’AIEA (avant Mohamed ElBarradei), a déclaré à Genève à l’ouverture de la conférence ENC’86 (European Nuclear Conference, congrès quadriennal des industries nucléaires européennes) que "Tchernobyl n’avait pas causé plus de morts que le match de football du Heysel, il y a un an".
Les violences au cours de ce match à Heysel (Hollande) entre supporters locaux et ceux de Liverpool ont causé 39 morts...

- Le Monde, 28 août 1986, M. Rosen, directeur de la sûreté nucléaire de l’AIEA,
a déclaré à la conférence de Vienne en août 1986 “Même s’il y avait un accident de ce type tous les ans, je considérerais le nucléaire comme une énergie intéressante”.

- Moscou, 16 janvier 1987 (AFP) “(...) La zone située entre 10 et 30 km autour de la centrale pourra commencer à être repeuplée de ses habitants cette année”,
a indiqué dans une conférence de presse M. Hans Blix, directeur général de l’AIEA, qui vient de passer une semaine en Ukraine avec deux de ses adjoints, MM. Morris Rosen et Léonard Konstantinov.

A lire ou à voir pour aller plus loin

La supplication, Tchernobyl chronique du monde après l’apocalypse (*) de Svetlana Alexievitch
Livre de poche 8 €, port compris

Solange Fernex, l’Insoumise - Ecologie, féminisme, non-violence (*), d’Elisabeth Schulthess. Ed.Yves Michel. 2004.
Les droits d’auteur de ce livre sont intégralement reversés à l’association Enfants de Tchernobyl Bélarus.
Livre 16 €, port compris

DVD Le Sacrifice (*) Feldat Film - Suisse 2003
- Prix du meilleur documentaire du festival de l’Environnement de la région Ile de France en 2004.
- Prix du meilleur documentaire du festival du film Scientifique d’Oullins en 2004.
DVD 23 €, port compris.

(*) A commander au Réseau "Sortir du nucléaire"
9, rue Dumenge 69317 Lyon Cedex 04.
Chèque à l’ordre de "Sortir du nucléaire".

Le Crime de Tchernobyl. Le goulag nucléaire.
Actes Sud - Wladimir Tchertkoff
Ce livre est un réquisitoire. Il réunit en 720 pages les témoignages et les documents recueillis en 15 ans d’enquêtes, suffisants pour accuser les plus hautes instances politiques et institutionnelles internationales d’un crime prémédité à Tchernobyl : crime contre l’humanité et crime contre la vérité scientifique. Les droits d’auteur sont reversés à l’Institut Belrad au Bélarus (action de radioprotection des enfants contaminés et information scientifique libre).
Wladimir Tchertkoff, d’origine russe et de nationalité italienne, longtemps journaliste pour la Rai puis la Télévision de la Suisse italienne de Lugano, a réalisé plus de soixante-dix documentaires dont cinq consacrés aux territoires contaminés par Tchernobyl. Il est également secrétaire de l’association Les Enfants de Tchernobyl-Belarus.

Mobilisation pour Tchernobyl
Près de 50 initiatives sont organisées en France et en Europe pour les 20 ans de Tchernobyl

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Solange Fernex et Véronique Ratel
Association “ENFANTS DE TCHERNOBYL BELARUS”

Contact :
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20 rue Principale
68 480 BIEDERTHAL
e-mail : s.m.fernex@wanadoo.fr
Compte bancaire : 0029876060 Crédit Mutuel 68 220 –Leymen- France
site internet : https://enfantsdetchernobylbelarus.doubleclic.asso.fr

1 - ONG : Organisation Non Gouvernementale
2 - Criirad : 471 Avenue Victor Hugo 26 000 Valence
Site internet : www.criirad.org



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