Entre libéralisation des marchés et constitution de grands groupes internationaux, la question de l’énergie est dominée par l’idée apparemment incontestable qu’il est nécessaire de maintenir son prix bas.
Cette approche se traduit par l’affirmation qu’il faut augmenter les capacités de production d’énergie. Mais l’idée, si elle correspond bien aux intérêts des grands groupes, est contraire à l’intérêt général, dès lors que la question climatique et les perspectives d’épuisement du (...)