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Une impasse éthique et sociétale




Une impasse éthique

Notre responsabilité envers les générations qui nous succèderont est immense ! Nous leur léguons une menace silencieuse à retardement. Tout mode de stockage de ces déchets implique des risques évidents de contamination radioactive des nappes phréatiques, des sources, des sols, menaçant la vie en surface et condamnant définitivement de larges territoires.
Surveiller et assurer la mémoire des sites de stockage pendant des millénaires imposera un niveau de compétences technologiques constant et une stabilité sociale que nul ne peut garantir.

Une impasse sociétale

La filière nucléaire (civile et militaire) a toujours masqué les dangers qui lui sont liés, malgré la connaissance précise qu’elle en a. Cette filière a pratiqué la désinformation des populations et l’éviction de celles-ci dans ses prises de décisions. Un Etat dans l’Etat ? L’opacité est la règle.
Question déchets, "l’acceptation sociale" est actuellement recherchée -coûte que coûte- alors que les problèmes techniques et scientifiques sont loin d’être résolus.
Le manque évident -gravissime- d’options responsables en matière de gestion est masqué depuis toujours par une communication abusive, le refus de toute contre-expertise, les pratiques d’"accompagnement" financier, l’absence de démocratie.
Le court débat public (contesté par de nombreuses associations) sur les déchets nucléaires, lancé fin 2005, a lui-même conclu aux carences démocratiques sur la question du nucléaire et de ses déchets ainsi qu’à la nécessité de consulter la population, notamment celle directement touchée par les projets de stockage.
L’enfouissement est une des pires options en terme de conséquences pour les générations futures.
25 sites dans plusieurs régions en France ont été concernés par un tel projet, soulevant un véritable rejet, reflet d’une inquiétude justifiée et exprimée de manière constante. La prise en compte de celle-ci devient incontournable !

Une conclusion s’impose, aujourd’hui :
40 ans d’accumulation de déchets hautement radioactifs, de nombreuses tentatives pour les enfouir, et toujours aussi peu d’options de gestion sensées à l’horizon, cela suffit !

Beaucoup de gens disent :

"Oui, mais il faudra bien en faire quelque chose de ces déchets !"

Et si on posait le problème autrement ?

1. Tirer le vrai bilan du problème déchets
"Et si l’on reconnaissait l’impasse totale qu’ils constituent, aujourd’hui et pour l’avenir ?"
2. Prendre le problème à sa source
"Toute gestion des déchets pose la question de la réduction à la source."
Il faut arrêter d’en produire, donc stopper le retraitement et opter pour la sortie du nucléaire.
3. SE DONNER LE TEMPS et les moyens ensuite de choisir collectivement l’option pour en assurer la gestion la moins “mauvaise”.

L’abandon de l’enfouissement et le maintien des déchets sur leurs sites de production sont indiscutables.
Limiter leur transport est fondamental. Des orientations honnêtes et démocratiquement débattues sur le sort des déchets nucléaires existants ne seront possibles qu’une fois l’arrêt de la filière électronucléaire décidé et mis en œuvre !

déchets nucléaires = impasse sur toute la ligne

Une impasse éthique

Notre responsabilité envers les générations qui nous succèderont est immense ! Nous leur léguons une menace silencieuse à retardement. Tout mode de stockage de ces déchets implique des risques évidents de contamination radioactive des nappes phréatiques, des sources, des sols, menaçant la vie en surface et condamnant définitivement de larges territoires.
Surveiller et assurer la mémoire des sites de stockage pendant des millénaires imposera un niveau de compétences technologiques constant et une stabilité sociale que nul ne peut garantir.

Une impasse sociétale

La filière nucléaire (civile et militaire) a toujours masqué les dangers qui lui sont liés, malgré la connaissance précise qu’elle en a. Cette filière a pratiqué la désinformation des populations et l’éviction de celles-ci dans ses prises de décisions. Un Etat dans l’Etat ? L’opacité est la règle.
Question déchets, "l’acceptation sociale" est actuellement recherchée -coûte que coûte- alors que les problèmes techniques et scientifiques sont loin d’être résolus.
Le manque évident -gravissime- d’options responsables en matière de gestion est masqué depuis toujours par une communication abusive, le refus de toute contre-expertise, les pratiques d’"accompagnement" financier, l’absence de démocratie.
Le court débat public (contesté par de nombreuses associations) sur les déchets nucléaires, lancé fin 2005, a lui-même conclu aux carences démocratiques sur la question du nucléaire et de ses déchets ainsi qu’à la nécessité de consulter la population, notamment celle directement touchée par les projets de stockage.
L’enfouissement est une des pires options en terme de conséquences pour les générations futures.
25 sites dans plusieurs régions en France ont été concernés par un tel projet, soulevant un véritable rejet, reflet d’une inquiétude justifiée et exprimée de manière constante. La prise en compte de celle-ci devient incontournable !

Une conclusion s’impose, aujourd’hui :
40 ans d’accumulation de déchets hautement radioactifs, de nombreuses tentatives pour les enfouir, et toujours aussi peu d’options de gestion sensées à l’horizon, cela suffit !

Beaucoup de gens disent :

"Oui, mais il faudra bien en faire quelque chose de ces déchets !"

Et si on posait le problème autrement ?

1. Tirer le vrai bilan du problème déchets
"Et si l’on reconnaissait l’impasse totale qu’ils constituent, aujourd’hui et pour l’avenir ?"
2. Prendre le problème à sa source
"Toute gestion des déchets pose la question de la réduction à la source."
Il faut arrêter d’en produire, donc stopper le retraitement et opter pour la sortie du nucléaire.
3. SE DONNER LE TEMPS et les moyens ensuite de choisir collectivement l’option pour en assurer la gestion la moins “mauvaise”.

L’abandon de l’enfouissement et le maintien des déchets sur leurs sites de production sont indiscutables.
Limiter leur transport est fondamental. Des orientations honnêtes et démocratiquement débattues sur le sort des déchets nucléaires existants ne seront possibles qu’une fois l’arrêt de la filière électronucléaire décidé et mis en œuvre !

déchets nucléaires = impasse sur toute la ligne



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