Pierre Gadonneix, PDG d’EDF, ne veut pas entendre parler d’un concurrent nucléaire sur le sol français. Mais il ne le dit pas en ces termes. Le rusé patron, qui préfère persuader ses interlocuteurs qu’un second EPR est inutile, dit ne pas être oppose a la concurrence.
La preuve ? Il vient de signer un accord sur le nucléaire avec Enel. Le groupe italien prendra à sa charge 12,5% de l’investissement dans l’EPR de Flamanville en échange de l’équivalent en production électrique. « Personne (...)