A l’occasion d’une conférence de presse organisée la semaine dernière sur le site du laboratoire de recherche souterrain de Bure, le directeur général de l’Agence nationale pour la gestion des déchets nucléaires (Andra), François Jacq, a annoncé que les équipes de forage n’étaient plus qu’à 80 mètres de la couche d’argile callovo-oxfordien. C’est dans cette couche imperméable que sera construit le laboratoire souterrain et où seront menées les études de confinement de déchets nucléaires. (...)