Vidéo des manifestations du 11/09 dans le quartier de Shinjuku à Tokyo :
Manifestations du 19/09 à Tokyo :
Les Japonais veulent dire “sayonara” à l‘énergie nuclaire (article Euronews)
En finir avec l‘énergie nucléaire, voilà ce que réclament ces dizaines de milliers de Japonais réunis lundi dans le centre de Tokyo.
Plus de 6 mois après la catastrophe de Fukushima, près de 60.000 personnes ont répondu lundi à l’appel de plusieurs mouvements anti-nucléaires. C’est l’une des plus grosses manifestations depuis la tragédie.
“Nous voulons que le gouvernement nous dise clairement quand il va abandonner l‘énergie nucléaire explique ce manifestant, pour que nous soyons soulagés et que nous nous mettions à travailler dur pour utiliser des énergies renouvelables.”
Des citoyens japonais opposés à la remise en activité de la deuxième centrale de Fukushima, qui a moins souffert que la première. Le gouvernement ne peut en effet pas la relancer sans l’accord des municipalités.
Quand à la première centrale, le gouvernement explique qu’il est peu probable de relancer les deux réacteurs qui n’ont pas été endommagés. Sur les six que comptent cette centrale, quatre sont d’ores et déjà condamnés.
Vidéo des manifestations du 11/09 dans le quartier de Shinjuku à Tokyo :
Manifestations du 19/09 à Tokyo :
Les Japonais veulent dire “sayonara” à l‘énergie nuclaire (article Euronews)
En finir avec l‘énergie nucléaire, voilà ce que réclament ces dizaines de milliers de Japonais réunis lundi dans le centre de Tokyo.
Plus de 6 mois après la catastrophe de Fukushima, près de 60.000 personnes ont répondu lundi à l’appel de plusieurs mouvements anti-nucléaires. C’est l’une des plus grosses manifestations depuis la tragédie.
“Nous voulons que le gouvernement nous dise clairement quand il va abandonner l‘énergie nucléaire explique ce manifestant, pour que nous soyons soulagés et que nous nous mettions à travailler dur pour utiliser des énergies renouvelables.”
Des citoyens japonais opposés à la remise en activité de la deuxième centrale de Fukushima, qui a moins souffert que la première. Le gouvernement ne peut en effet pas la relancer sans l’accord des municipalités.
Quand à la première centrale, le gouvernement explique qu’il est peu probable de relancer les deux réacteurs qui n’ont pas été endommagés. Sur les six que comptent cette centrale, quatre sont d’ores et déjà condamnés.
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